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Alfa Romeo 156

Alfa Romeo 156

Dates clés

  • Commercialisation : octobre 1997 à janvier 2006 (pour les berlines) - Restyling : juillet 2003 - Version break Sportwagon : juin 2000 - Version break tout chemin 4 X 4 Crosswagon : novembre 2004
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En bref

Cette berline, déclinée en break en cours de carrière, a marqué le vrai renouveau d'Alfa : un style qui plonge ses racines dans le passé de la marque, des moteurs pleins de caractère et, au final, un plaisir de conduite qui n'a rien d'illusoire. Cette belle et bonne auto se trouve en abondance sur le marché, dans une gamme de prix très large. C'est elle qui a inauguré en première mondiale la technique révolutionnaire de l'injection par rampe commune sur les diesels. Au grand bénéfice, et du tempérament de ces mécaniques, et de leur consommation.

Caradisiac a aimé

  • L'esthétique avantageuse
  • Le bon niveau d'équipement
  • L'agrément de conduite
  • La tenue de route
  • Les moteurs diesels

Caradisiac n'a pas aimé

  • La suspension sèche
  • Le mauvais rayon de braquage
  • Le volume de coffre
  • La carrosserie vulnérable
  • L'habitabilité arrière

Nos versions préférées

  • 1.8 T.SPARK DISTINCTIVE
  • 1.9 JTD 140 CH PROGRESSION

Qualités et défauts

Ce qui peut vous tenter

  • Son style : une ligne racée, effilée, originale. Tant en berline qu'en break, lequel n'affiche vraiment aucun caractère d'utilitaire.
  • L'intérieur : également traité avec beaucoup de personnalité, en particulier la planche de bord.
  • L'équipement : réellement riche sur toute la gamme, sauf sur les premières versions 1.6 ou 1.9 JTD, ou en finition Impression qui sont juste sans lacune, mais sans opulence particulière.
  • L'ergonomie : bonne implantation de la plupart des commandes.
  • L'agrément de conduite : les mécaniques sont vivantes, offrent de belles résonances et répondent bien à l'accélérateur, même si toutes ne présentent pas des performances extraordinaires.
  • La boîte de vitesses : elle est agréable à manier.
  • La tenue de route : comportement vif et équilibré.
  • Le freinage : avec un ABS de série, il se montre à la hauteur.
  • Les moteurs diesels : agréables, performants, et construits sur une base solide.

Ce qui peut faire hésiter

  • La suspension : asse sèche, elle est plus inconfortable que sur la plupart des concurrences. Notamment des françaises.
  • L'habitabilité arrière : elle est assez restreinte, en tout cas en déficit par rapport aux cotes habituelles de la catégorie. L'accès aux places arrière est assez étroit.
  • Le rayon de braquage : trop grand, ce qui handicape les manœuvres. Certains modèles sont dotés d’un volant en imitation bois, trop lisse.
  • La boîte Selespeed : montée en option sur les 2.0 (T.S. et JTS) elle apparaît alléchante sur le papier. En fait, elle ne présente qu'un agrément très limité au quotidien. Au final, une transmission robotisée (sans pédale d'embrayage) pas très probante ni en conduite rapide, ni en mode tout automatique.
  • Le coffre des berlines : volume un peu limité. Et, surtout, la banquette au dossier fixe ne permet aucune modulation du coffre.
  • La vulnérabilité de la carrosserie aux petits chocs : conséquence de l’absence de toute protection sur les flancs. Attention aux arrêtes des portières !
  • Les vitres arrière : elles ne descendent que partiellement.
  • La boîte à gants : trop basse. Son couvercle s’ouvre sur les genoux du passager.
  • Les rétroviseurs extérieurs : un peu petits de surface et obliquant curieusement vers le haut, ils n’offrent qu’un champ de vision limité cers l'arrière.
  • La protection des occupants en cas de choc : les résultats aux crash-tests ne sont pas excellents pour un modèle de cette génération.

Budget

Achat / Cote :

Large éventail de prix. La voiture plait mais, concrètement, sa cote n'est pas exagérée. Les versions essence sont même assez souvent vendues avec une décote sensible. Les versions diesel (JTD), largement les plus abondantes, sont nettement plus demandées.

Consommation :

Les versions diesel sont très sobre et, en cours de carrière, au fur et à mesure que leur puissance augmente, leur appétit diminue. Les versions essence ne sont pas spécialement bien loties sous l'angle du rapport performances/ consommations.

Assurance :

Prix dans la moyenne.

Prix des pièces :

Tarifs dans la norme, sauf quelques exception (par exemple l'échappement) bizarrement assez chers. Attention : les retouches de peinture sur la teinte si particulière Nuvola (gris très clair aux reflets particulièrement travaillés) sont extrêmement onéreuses.

Entretien :

Visites d'entretien tous les 10 000 à 25 000 km suivant les modèles (et tous les ans au maximum si le kilométrage limite n'a pas été atteint). Courroie de distribution à remplacer tous les 90 000 à 120 000 suivant les moteurs. Sur ce point, attention aux 4 cylindres à essence, et en particulier le 1.6 : au moins une inspection nécessaire à 60 000 km.

Fiabilité

Description :

Avec cette 156, ce n'est pus du tout l'univers des fuites en tous genres et des caprices électriques les plus farfelus auxquels la marque étaient abonnée précédemment. Certes, cette voiture est née avec de réelles imperfections, mais, au contraire d'une tradition Alfa précédemment bien établie, elle a été assez vite améliorée, dès son début de carrière même et, surtout, elle n'a jamais été affublée de défauts rédhibitoires. De plus, le constructeur a pour elle assuré un suivi inédit en après-vente, en mettant en place aussi souvent que nécessaire des campagnes de rappel, ce qui n'était pas la coutume de la marque auparavant. Et les prises en charge pour le problèmes bien identifiés ont été assez systématiques.

Pannes lourdes ou immobilisantes :

  • Antidémarrage électronique. Sur les modèles fabriqués jusqu’en février 1998, risque de dysfonctionnement. Peut empêcher le démarrage. Les voitures sont le pus souvent été réparées par leur premier propriétaire.
  • Moteurs diesel. Sur les premiers modèles, possibles incidents sur la pompe d’injection et les injecteurs. Symptômes : une perte de puissance, et/ou un ralenti devenant irrégulier et impossible à régler par une reprogrammation électronique ; également quelques fuites de gazole sur la rampe commune d'injection. Mais, sur tous ces points, de nombreuses améliorations ont été apportées en usine à partir de septembre 1998, notamment sur l'usinage de la pompe et des injecteurs (pour éviter les grippages de ceux-ci). La plupart de ces faiblesses auront été corrigées lorsque la voiture était aux mains du premier propriétaire. La marque a souvent accordé des extensions de garantie sur ces points. La fiabilité de toute la partie injection de ces moteurs (pompe, rampe commune et injecteurs) est devenue normale à partir de janvier 2000. Encore quelques incidents sporadiques de pompe d'injection jusqu'aux productions de juillet 2001.
  • Moteur 2.4 JTD 136 ch. Sifflement et risque d'usure prématurée de la courroie d’accessoires. Causé par un déficit de tension.
  • Moteur 2.4 JTD 136 et 140 ch. Sur les 2.4 JTD fabriqués jusqu'en juillet 2001, suintement de gazole sur le capteur de pression de la rampe d’injection.
  • Moteur 2.4 JTD 136 et 140 ch. Sur les 2.4 JTD fabriqués jusqu’en décembre 2001, risque d’encrassement, voire de casse du turbo à géométrie variable.
  • Volant moteur. Sur les 1.9 JTD fabriquées jusqu’en décembre 2001, possible incident sur le volant moteur à partir de 80 000 km.
  • Courroie d'accessoires moteur. Sur les versions à 4 cylindres fabriquées jusqu’en avril 2002, possible faiblesse du tendeur de la courroie d’accessoires. provoque une usure accélérée de la courroie, qui peut s'effilocher ou se rompre.
  • Boîte robotisée Selespeed. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2000, craquement lors des rétrogradages en 1ère, hésitation à l’enclenchement de la 1ère et de la marche arrière, risque de rapports qui sautent en roulant.
  • Boîte robotisée Selespeed. Sur les modèles fabriqués jusqu’en mars 2001, fuite d’huile possible à chaud, après une étape routière.
  • Boîte robotisée Selespeed. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2003 (et surtout ceux fabriqués jusqu’en 2001), problèmes sur la gestion électronique des passages de rapports.

Autres pannes ou faiblesses :

  • Moteurs 4 cylindres à essence. Sur les modèles fabriqués jusqu’en février 1999, apparition à partir de 60 000 km d’un bruit additionnel, causé par le système de commande variable des arbres à cames. Remède : remplacement du variateur de phase.
  • Moteurs 4 cylindres à essence. Risque d’usure prématurée ou de rupture avant terme de la courroie de distribution avant les 120 000 km inscrits au carnet d’entretien. Affecte surtout les 1.6. Vérification par les concessionnaires nécessaire tous les 60 000 km. Cette précaution d'entretien a été décidée par Alfa en 2005.
  • Moteur 2.0 JTS. Possible irrégularité de fonctionnement. Causé par un incident sur la sonde lambda ou sa connectique.
  • Moteur V6 2.5. Sur les modèles fabriqués jusqu’en juin 99, quelques dysfonctionnements du potentiomètre d’accélérateur : perturbe le fonctionnement du moteur.
  • Moteur 1.9 JTD. Sur les modèles fabriqués jusqu’en décembre 2001, apparition de vibrations mécaniques et d'un bruit (chuintement) lors des démarrages à froid à partir de 40 000 km, qui s'accroissent par la suite assez rapidement. Causé par l'altération de l’insert en caoutchouc de la poulie de vilebrequin. Poulie à remplacer : env. 240 €.
  • Train avant. Sur les modèles fabriqués jusqu’en décembre 2001, des claquements apparaissent à partir de 40 000 à 80 000 km selon les voitures. En après-vente, atténuation possible des bruits : remplacement des silentblocs de bras de suspension (notamment côté droit). Mais le bruit n’est pas éliminé à 100 % et peut se manifester à nouveau au bout de quelques dizaines de milliers de kilomètres.
  • Train avant. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2000, usure parfois très prématurée des pneus avant, causée par une mauvais réglage du train avant en usine. Quelques cas encore sur les modèles 2001.
  • Direction. Sur les modèles fabriqués jusqu’en avril 2001, fuite possible du liquide d’assistance de direction.
  • Direction. Sur les modèles fabriqués jusqu’en décembre 2003, quelques bruits d’assistance de direction.
  • Freins. Bruit de plaquettes à petite vitesse ou en fin de ralentissement.

Aspect extérieur :

  • Portières arrière. Sur les berlines fabriquées jusqu’en décembre 2002 et sur les breaks jusqu'en 2004, elles sont mal alignées : elles remontent trop vers l'arrière et l'arrête latérale de carrosserie est décalée. Remède : réglage des charnières.
  • Hayon. Sur les breaks fabriqués jusqu’en décembre 2002, décalage du hayon.
  • Bruits d'air. Sur les modèles fabriqués jusqu’en septebmre 1998, bruits d’air en provenance des portières avant.
  • Portières. Sur les modèles fabriqués jusqu’en janvier 1999, les soudures des charnières de portes pouvaient être faibles. Rappel en février 1999 : charnières renforcées.

Finition intérieure :

  • Assemblage. Sur les modèles avant restyling, la planche de bord est souvent mal alignée, surtout sur les modèles fabriqués jusqu’en juillet 1998.
  • Bruits parasites. Des crissements entre les différents éléments du mobilier intérieur, et quelques grincements sur la planche de bord et les garnissages de portières. grincement à l'enfoncement de la pédale de frein, bruit de frottement sur pédales de frein et d'accélérateur. Sur les breaks, bruits parasites assez abondants dans le compartiment arrière. Amélioration en usine à partir de juillet 1998. Et, surtout, nouvelle amélioration sur les modèles restylés. La sellerie en cuir génère aussi des crissements.

Dysfonctionnements électroniques/fonctions à bord :

  • Verrouillage central. Sur les modèles fabriqués jusqu’en juillet 1998, incident sur la commande à distance du verrouillage.
  • Fonctions électriques de confort. Incidents épars, causés par le câblage et/ou les fusibles.
  • Gestion électronique des fonctions d'habitacle. Surtout sur les modèles fabriqués jusqu’en septembre 2001, caprices du “Body Computer”, unité qui gère les fonctions à bord. A réinitialiser.
  • Climatisation/Aération. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2003, aléas sur la commande d'“air recyclé”: lors du passage en mode “air recyclé”, risque de fonctionnement en continu des moteurs qui commandent l'obturation des clapets d'aération internes.
  • Climatisation. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2002, incidents sur la régulation automatique.
  • Vitres avant. Sur les modèles fabriqués jusqu’en 2001, mauvaise remontée à plus de 130 km/h.
  • Voyant d’airbag. Sur les modèles fabriqués jusqu’en septembre 2001, allumage inopiné (sans que le fonctionnement de l'airbag soit réellement altéré). Causé par connecteur situé sous le siège du conducteur qui se débranche lorsque le chauffeur règle son siège en longueur.
  • Jauge à carburant. Sur les modèles fabriqués jusqu’en avril 2002, indication inexacte.
  • Ordinateur de bord. Indication parfois aléatoires, surtout sur les modèles fabriqués jusqu'en septembre 2001.
  • GPS. Guidage parfois très fantaisiste.

Rappel de rectification en concession :

  • Couvercle de coffre. Sur les modèles fabriqués jusqu’en janvier 1998, il exigeait d’être claqué avec force. La serrure a été systématiquement modifiée en concession courant 1998.
  • Capot moteur. Sur les modèles fabriqués entre février 2000 à octobre 2003, risque d’ouverture du capot en roulant. Causé par les crochets de maintien du capot qui, lors de sa fermeture, risquent de mal se positionner. Rappel en octobre 2004. 19 867 voitures en France, 244 000 au total.
  • Moteurs 1.8 et 2.0 essence. Sur les modèles fabriqués jusqu’en janvier 2001, ralenti irrégulier, possibles à-coups à l’accélération. Une première amélioration a été apportée en juillet 1998. Rappel en septembre 1998 : remplacement du micromoteur de ralenti et du boîtier de papillon des gaz, avec une reprogrammation du boîtier d’injection.
  • Moteur V6 3.2 (GTA). Sur les GTA fabriquées entre février et juillet 2002, risque de fuite de carburant sur le raccord situé entre le tube en caoutchouc et la rampe d’injecteurs est imparfait. Le collier de serrage a été mal positionné et mal serré en usine. Rappel en mars 2003. 148 voitures en France, 1 600 au total.
  • Différentiel arrière (Crosswagon). Sur les Crosswagon 4 X 4 fabriquées jusqu’en février 2005, risque de déficit d’huile mise en usine dans le différentiel. Rappel en mai 2005.
  • Direction. Sur les modèles fabriqués jusqu’en juin 1998, bruits d’assistance de direction marqués en manœuvres. Rappel en septembre 1998.
  • Suspension avant. Sur les versions GTA fabriquées entre mars 2002 et janvier 2003, risque de desserrage d’un élément de suspension/ Symptôme : bruit métallique et possible altération des qualités routières. Rappel en juin 2003 : remplacement des vis de fixation et des renforts de suspensions. 192 voitures en France, 2 000 au total.
  • Freinage ABS. Sur les modèles fabriqués jusqu’en juillet 1998, l'ABS peut être perturbé. Provoque l'allumage du témoin au tableau de bord, et un risque de non-fonctionnement de l'antiblocage (mais la puissance de freinage n’est pas entamée). Causé par des capteurs qui prennent l’eau. Rappel en septembre 1998 : capteurs mieux isolés et, si besoin, changés.
  • Freinage ABS. Sur une petite série de modèles fabriqués au premier semestre 98, possible perturbation ou panne de l'ABS. Rappel en juillet 1998 : repositionnement d'une partie du faisceau électrique de l'ABS.
  • Jauge à carburant. Sur les JTD fabriquées jusqu’en mai 1999, indications parfois complètement erronées, ou aiguille descendant à 0 (avec réserve allumée). Risque aussi d’une indication trop élevée alors qu’il ne reste quasiment plus de carburant. Voitures rectifiées par les concessionnaires lors des passages en révision depuis juin 1999.
  • Voyant d’airbag. Sur les modèles fabriqués jusqu’en juillet 1998, allumage chroniquement désordonné (sans que le fonctionnement de l'airbag soit réellement altéré). Voitures rectifiées par les concessionnaires lors des passages en révision depuis septembre 1998.
  • Canalisation d'alimentation en carburant. Sur les modèles fabriqués entre Décembre 2005 et Juin 2006, il existe un risque de fuite de gazole à cause d'une interférence entre la canalisation et le support du filtre à carburant. Rappel en Avril 2008 : éloignement de la canalisation en question du support de filtre.

Après-Vente :

Qualité de service globale du réseau constructeur :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
Prise en charge sous garantie :
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
Prise en charge hors garantie :
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4

Meilleures versions

En essence : 1.8 T.SPARK DISTINCTIVE

Le bon équilibre entre un 1.6 un peu creux à bas régime et un 2.0 certes homogène, mais plus gourmand que ce très vaillant 1.8 à double allumage.
Commercialisation : 2002
Puissance fiscale : 9
Puissance réelle : 144 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8

En diesel : 1.9 JTD 140 CH PROGRESSION

Les 16 soupapes donnent un nouveau souffle au 1.9 diesel. Très bon moteur, sous tous les angles. Et bien adapté à la voiture. La finition progression est déjà largement assez équipée.
Commercialisation : 2002
Puissance fiscale : 8
Puissance réelle : 140 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8

Mots clés :

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