Hier midi se sont enchaînées les conférences de presse de Peugeot, d’abord, puis d’Audi. L’ambiance était passablement différente chez les deux rivaux. Normal.


Et ce n’est ni le cadre, ni la mise en scène, ni les discours, toujours passablement lénifiants dans ce genre de conférence, qui ont retenu mon attention. Mais autre chose…


Chez Audi, il a fallu attendre une bonne vingtaine de minutes avant que le nom du rival, Peugeot, soit prononcé. Chez Peugeot, celui d’Audi avait été prononcé beaucoup plus tôt.