Avec son addition à 10 600€ et son équipement plus moderne que celui de notre Dacia Spring, la nouvelle Tata Tiago EV ressemble à la voiture électrique idéale.
Ce printemps, Renault a lancé la City K-ZE destinée au marché chinois. Pour la première fois, une citadine à motorisation électrique joue la carte du low cost. Le bas coût, un casse-tête récurrent pour le design et le marketing depuis plusieurs décennies.
Tata avait le déplacement jusqu'à Genève pour présenter en première mondiale un concept de petit SUV baptisé H2X pour lequel la marque indienne nourrit beaucoup d'ambitions.
Tata a stoppé la commercialisation de la Nano, la voiture la moins chère du monde, qui a au final été un échec commercial.
L'indien Tata aurait investi 900 millions de dollars dans Faraday Future, un constructeur qui n'a pas encore commercialisé son premier modèle et est en proie à de grandes difficultés.
Qui peut le plus a parfois du mal à faire le moins. Pour le géant Volkswagen, poser son immense empreinte sur les marchés émergents paraîtrait de prime abord un jeu d’enfants. Mais faire son poids ne suffit apparemment pas pour cerner ce sujet à ne pas prendre à la légère. Des alliances locales sont nécessaires avec des constructeurs déjà bien ancrés dans la zone visée. L’Allemand s’en rend compte et après une tentative avec Suzuki, voilà que l’échec est aussi au rendez-vous avec Tata qui ne sera donc pas parrain de l’aventure.
Le rachat d’Opel par PSA a peut-être ouvert la voie à d’autres fusions ou absorptions dans le monde de l’automobile. Parce que certains constructeurs sont plus fragiles que d’autres. Parce qu’après deux années de bons bénéfices, certains disposent du cash suffisant pour en racheter d’autres. Et parce que l’avenir et les nouvelles mobilités plaident pour une concentration des marques.
C’est devenu une habitude, à chaque salon, il y a les coups de coeur mais également les déceptions. Voici notre florilège pour cette édition 2017 de ce salon de Genève.
Tamo Futuro : c'est le nom de la sportive à venir préparée par le géant indien Tata. Le premier modèle permettant de donner naissance à la firme sera dévoilé en mars prochain à Genève avec des ambitions très particulières. Les bruits de couloir indiquent en effet qu'il s'agit d'un coupé deux places abordable de 180 chevaux pour moins de 800 kilos.
En fin d'année dernière, Tata Motors annonce la signature d'un partenariat avec un ambassadeur de choix : Lionel Messi. L'Argentin, pas vraiment adepte des autos bon marché, sera toutefois le visage de Tata Motors pendant deux ans. Et cela commence par la promotion de la Tiago, qui lui permettra peut-être d'effacer (un peu) la surmédiatisation liée aux Panama Papers...