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Alfa Romeo 145

Alfa Romeo 145

Dates clés

  • Commercialisation : août 1994 à octobre 2001 - Retouches : mars 1997
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En bref

Troisième et dernière voiture de la lignée des petites berlines Alfa avec moteur 4 cylindres "à plat", cette 3 portes aux allures assez sportives s'obtient aujourd'hui à petits prix. Née avec l'architecture mécanique de ses aînées, elle a mué en cours de carrière en adoptant des moteurs à 4 cylindres plus classiques mais finalement plus agréables aussi. Dans sa définition technique, la voiture a incontestablement vieilli. Mais elle peut encore faire vibrer le cœur des alfistes par son rattachement à la tradition maison. Sa carrosserie 3 portes a aussi été déclinée en 5 portes, et elle prend alors l'appellation 146.

Caradisiac a aimé

  • L'équipement à la hauteur
  • L'habitacle lumineux
  • La tenue de route équilibrée
  • Le confort de suspension

Caradisiac n'a pas aimé

  • Les moteurs Boxer (4 cylindres à plat) décevants
  • L'insonorisation
  • La banquette arrière trop dure
  • L'ergonomie (commodos, radio...)

Nos versions préférées

  • 1.6 TS L
  • JTD

Qualités et défauts

Ce qui peut vous tenter

  • Le style : élancé et nerveux, il évoque la sportivité et séduit par son équilibre.
  • L'équipement : pour un modèle de cette génération, la dotation est plutôt complète.
  • L'habitacle : il est bien éclairé par une surface vitrée largement répartie.
  • L'équilibre sur route : si vous ne titillez pas trop l'accélérateur, la tenue de route est sereine et même équilibrée.
  • Le confort de suspension : au contraire d'une tradition Alfa souvent vérifiée, il n'y a pas ici de sécheresse excessive, sauf sur les versions sportives.

Ce qui peut faire hésiter

  • Les moteurs Boxer (4 cylindres à plat) : décevant en performances.
  • La commande de boîte des versions à moteur Boxer : elle se montre bien lourde. Heureusement, elle a été modifiée par la suite avec l’arrivée des moteur en ligne.
  • La pédale de frein des premières versions : contact spongieux, désagréable.
  • Le réglage trop sensible de l’accélérateur : il exige un dosage très fin pour la circulation en ville.
  • L'insonorisation : limitée, ce qui est pénalisant surtout sur les diesels
  • La banquette arrière : implantée trop haut et notoirement inconfortable.
  • La radio : elle est implantée bien trop bas, et pâtit de boutons de réglage trop petits.
  • Le hayon : il ne s'ouvre qu'avec le recours à la clé. Peu pratique.
  • Le commodo d'essuie-glace : son maniement s'avère un peu compliqué, avec des bagues tournantes pour régler les essuie-glace avant et actionner l'essuie-glace arrière. Tout cela peut être confondu.

Budget

Achat / Cote :

Tranche de prix limitée. Les versions diesel, surtout les dernières avec l'excellente mécanique JTD, sont, et de loin, les plus appréciées et les plus cotées.

Consommation :

Les premières versions essence à moteur Boxer (4 cylindres à plat) affichent un médiocre rapport performances/consommation. Le bilan s'améliore très nettement avec les 4 cylindres en ligne arrivée à mi-carrière. Les deux diesels sont globalement mieux placées, avec un bonus pour la seconde, la JTD à injection par rampe commune qui s'avère la plus sobre de la gamme.

Assurance :

Tarifs très limités

Prix des pièces :

Prix très raisonnables dans l'ensemble.

Entretien :

Visites d'entretien tous les 10 000 à 15 000 km (et tous les ans au maximum si le kilométrage limite n'a pas été atteint). Courroie de distribution à remplacer tous les 120 000 km (mais mieux vaut envisager un remplacement à 90 000 km sur les versions à essence 1.8 et 2.0).

Fiabilité

Description :

Le soubassement provient de Fiat (Tipo), les premiers moteurs à essence sont issus de la précédente Alfa 33, et la qualité de fabrication générale s'améliore par rapport aux précédents standards de la marque à cette époque. A partir du restyling, l'implantation de nouveaux moteurs à essence ne va pas sans poser de petits problèmes, mais les choses s'améliorent assez vite. De même, en diesel, le passage de l'ancien turbodiesel à la nouvelle génération (JTD) passe par quelques soucis de jeunesse, mais le plus gros d'entre eux avait été essuyé par la 156, qui avait étrenné plus d'un an avant cette technique novatrice d'injection par rampe commune.

Pannes lourdes ou immobilisantes :

  • Moteur 2.0 l. Sur les versions Quadrifoglio fabriquées jusqu'en décembre 1996, risque de rupture avant terme de la courroie de distribution. Attention : risque d'endommagement important des soupapes, voire de casse moteur. Plusieurs améliorations ont été apportées usine : amélioration du tendeur de courroie (juin 1996), nouveau matériau de poulie (avril 1996), nouvelle courroie (décembre 1996).
  • Moteur 2.0 TD. Accroissement des fumées noires à fort kilométrage (plus de 150 000 km). Provient souvent d'un problème de pompe d'injection.
  • Moteur 1.9 JTD. Sur les premiers modèles, quelques cas d'incidents sur la pompe d’injection et les injecteurs. Résultat : perte de puissance, et/ou ralenti devenant irrégulier et impossible à régler par une reprogrammation électronique ; également quelques fuites de gazole sur la rampe commune d'injection. Mais la plupart de ces faiblesses ont été corrigées lorsque la voiture était aux mains du premier propriétaire. La marque a souvent accordé des extensions de garantie sur ces points. La fiabilité de toute la partie injection de ces moteurs (pompe, rampe commune et injecteurs) est devenue normale à partir de janvier 2000.
  • Volant moteur. Sur les versions 1.9 JTD, possible incident sur le volant moteur à partir de 80 000 km.
  • Refroidissement (radiateur). Sur les versions 1.3 l et 1.6 l fabriquées jusqu'en juillet 1996, quelques pannes du ventilateur moteur. Causé par une défaillance du thermocontact servant à son déclenchement.

Autres pannes ou faiblesses :

  • Moteurs à essence Boxer. Des à-coups à l'accélération dans les bas et moyens régimes, surtout lors de faibles pressions sur l’accélérateur. un phénomène particulièrement gênant en ville. Remède possible : reprogrammation du boîtier de gestion moteur.
  • Moteur 1.3 Boxer. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, ralenti souvent chaotique à froid. Amélioration possible par le remplacement d’un module électronique.
  • Moteur 1.6 Boxer. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juin 1996, ralenti parfois chaotique à froid. Amélioration possible par le remplacement d’un module électronique.
  • Moteurs 4 cylindres en ligne à essence. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1999, bruit causé par la commande de la distribution (commande des arbres à cames). Causé par le système de commande variable des arbres à cames. Résolu en usine par l'adoption d'un nouveau variateur. Rectification possible en concession depuis juin 1999.
  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Sur les modèles fabriqués jusqu'en septembre 1999, le ralenti est souvent irrégulier, avec des à-coups à l’accélération. Phénomènes surtout prononcés sur le moteur 2.0. L'amélioration partielle apportée en usine en juillet 1998 avec rappel des voitures 3 mois plus tard n'a donné que partiellement satisfaction. Nouvelle amélioration en septembre 1999, avec l'adoption d’une nouvelle centrale d’injection et des paramètres de gestion moteur redéfinis. En après-vente, possibilité de reprogrammation sur les voitures précédentes depuis novembre 1999.
  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Le démarreur est assez long à lancer le moteur.
  • Moteur 1.9 JTD. Apparition de vibrations mécaniques à partir de 40 000 km, qui s'accroissent par la suite assez rapidement. Causées par l'altération de l’insert en caoutchouc de la poulie de vilebrequin. Poulie à remplacer : env. 240 €.
  • Refroidissement (radiateur). Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1999, le radiateur est particulièrement exposé aux projections de gravillons, en raison du dessin des grilles inférieures du bouclier avant.
  • Boîte de vitesses. Sur les versions à essence, bruit additionnel audible au point mort. Le plus souvent causé par la butée d'embrayage.
  • Boîte de vitesses. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juin 1998, légers suintements d’huile à partir de 80 000 km. Sans gravité.
  • Différentiel. Résistance insuffisante en sollicitation très sportive (avec des démarrages en trombe répétés, en embrayant vigoureusement à l'arrêt à plus de 3 000 tr/mn).
  • Embrayage. Durée de vie du disque un peu inférieure à la moyenne.
  • Train avant. Sur les versions à essence, claquements à petite vitesse, sur mauvais revêtements ou lors de braquages importants.
  • Freins avant. Sur les modèles fabriqués jusqu'en mars 1997, bruit des plaquettes lors des ralentissements.
  • Freins avant. Longévité moyenne des plaquettes. Elles sont à changer tous les 25 000 km environ.
  • Echappement. Longévité du silencieux arrière un peu inférieure à la moyenne, surtout sur les versions à moteurs Boxer (fabriquées jusqu'en mars 1997).

Aspect extérieur :

  • Bon vieillissement, rien à signaler.

Finition intérieure :

  • Garnissage de pavillon. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1997, il est mal maintenu : bruit et risque de décrochage.
  • Plastiques. Protections des entrées de portes fragile, aisément marquées par les rayures. Quelques plastiques intérieurs sont également sensibles aux rayures, comme les accoudoirs de portières, les éléments autour de l’autoradio et du barillet de Neiman.
  • Poignées intérieures de portières. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, elles sont parfois inopérantes.
  • Sellerie. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1997, coutures latérales des sièges irrégulières et parfois fragiles.
  • Sièges avant. Jeu sur les assises et sur les dossiers.
  • Assemblage. Jointures du mobilier intérieur approximatives.
  • Compartiment arrière. Sur les modèles fabriqués jusqu'en février 1997, le garnissage intérieur du hayon est mal maintenu. Il fait du bruit et peut se décrocher.
  • Bruits parasites. Bruit en provenance des gâches de serrures de portière avant, articulation des pédales bruyantes, frottement entre les différents éléments de la planche de bord, vibrations en provenance du compartiment arrière (souvent de la tablette). Une amélioration partielle a été apportée lors du restyling en mars 1997.
  • Bruits d’air. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1995, sifflement en provenance des portières avant.

Dysfonctionnements électroniques/fonctions à bord :

  • Lave-glaces. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1996, quelques incidents et pannes.
  • Lève-vitres. Sur les modèles fabriqués jusqu'en mars 1997, quelques pannes.
  • Climatisation. Incidents possibles au bout de 4-5 ans.

Rappel de rectification en concession :

  • Moteurs 1.8 l et 2.0 l. Sur les modèles fabriqués jusqu'en juillet 1998, soucis chroniques de régulation moteur : ralenti très irrégulier, à-coups marqués à l’accélération. Rappel à l’automne 1998 : remplacement du micro-moteur de ralenti et du boîtier de papillon des gaz, reprogrammation du boîtier de gestion moteur.
  • Boîte de vitesses. Sur les versions à essence fabriquées jusqu'en juillet 1995, passage de la marche arrière bruyant, et des cas d'usure accélérée des synchros. Boîte rectifiée ou changée par les concessionnaires.

Après-Vente :

Qualité de service globale du réseau constructeur :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
Prise en charge sous garantie :
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
Prise en charge hors garantie :
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4

Meilleures versions

En essence : 1.6 TS L

Un tout autre moteur que le 1.6 Boxer. Ici, ce 16 soupapes à 4 cylindres en ligne dispense une agréable vitalité et convient très bien à la voiture.
Commercialisation : 1999
Puissance fiscale : 8
Puissance réelle : 120 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6

En diesel : JTD

Le jour et la nuit par rapport à la précédente version 2.0 TD : le moteur turbo très modernisé adopte une injection par rampe commune. Les performances progressent, l'agrément de conduite ainsi que le confort sonore font un bond en avant, et la consommation chute en moyenne d'un litre aux cent !
Commercialisation : 1999
Puissance fiscale : 6
Puissance réelle : 105 ch
Emission de CO2 : NC
note :
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6
  • 6

Mots clés :

En savoir plus sur : Alfa Romeo 145

Alfa Romeo 145

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Avis Alfa Romeo 145

145 1.8 TS L (2000)

Par §Alp200ep le 02/09/2019

Ma deuxième 145. La première était une 1.4 TS série L, donc avec toutes options.Voiture plaisante pour la balade et sur autoroute grâce à sa bonne réserve de puissance (144CH). La finition intérieure est très flatteuse, surtout pour l'époque. L'espace intérieur est généreux pour 2 personnes. Voyager à l'arrière est réservé aux courageux compte tenu du manque de place. La modularité est intéressante : une fois les sièges rabattus, on a un très bon espace de stockage.Question confort : on est dans du sportif. Pas de miracle, la bonne tenue de route est obtenue au détriment du confort. Ça sautille, passer un ralentisseur casse le dos, les longs trajets sont assez fatigants à cause du bruit ambiant et de la fermeté des sièges. Rien de catastrophique, mais ce n'est vraiment pas un pullman. Je dirais que c'est plutôt une voiture de week-end, malgré son aptitude à avaler les longues distances sur autoroute sans broncher. Que ce soit à plat ou en côte, le moteur est suffisant pour tenir des bonnes moyennes.Question fiabilité, la mauvaise réputation des Alfa est un souvenir solidement ancré dans l'esprit des gens. A tort (à quelques détails près). On est loin des Giulietta, Alfetta, GTV et autres modèles des années 70 à l'électricité douteuse et à la forte prédisposition à la rouille. Tout fonctionne après 20 ans, jamais de problèmes de démarrage, c'est plutôt du solide.Du côté moteur, il y a le fameux problème du Twin spark et son variateur qui se met à faire du bruit. Ca, ils n'ont jamais réussi à le régler, que ce soit chez Fiat, Alfa ou LAncia (c'est le même bloc). Si on est bricoleur, on s'en sort à pas trop cher. Mais chez le garagiste, la distribution + le variateur ça coûte près de 1000€ (quand ils le font bien, ce qui est loin d'être le cas).En dehors de ça, peu de problèmes moteur si on respecte la mécanique. Ce n'est pas une Clio : vidanges fréquentes, ne pas accélérer à froid, respecter la mécanique tout simplement. Et à ce moment là elle peut faire des centains de kilomètres.Côté châssis, je trouve que le train avant n'est pas une réussite. A la fois ferme et un peu sous-vireur, il a une forte tendance à user du pneu irrégulièrement. Les trianges dépassent rarement les 120.000km sans prendre de jeu. rien de méchant là non plus.D'autres petits détails : les vitres électriques qui sont assez paresseuses, et les caoutchoucs de joints de porte qui grincent sur les bosses (elles le font toutes).En résumé, on achète une 145 pour sa ligne et son côté jouet. On lui pardonne tout le reste.Si je devais refaire mon choix, j'opterais pour la 1.4, plus agréable que la 1.8 malgré une puissance bien en dessous. Le 1.4 tourne plus rond et ses montées en régime n'entraînent pas de vibrations. Cela vient du fait que c'est un moteur super carré, alors que le 1.8 est un longue course (seule la course change entre les 2, ce qui n'est à mon avis pas un bon choix de conception).Avant achat, bien vérifier dessous. Comme sur toutes les voitures de cet âge, la rouille peut avoir fait son travail, même si les soubassements sont bien traités

145 2.0 QUADRIFOGLIO AGV (1999)

Par §Ned801If le 09/11/2011

Pour commencer, je suis membre du forum Alfanatiques.com, ma présentation pleine de photos et de vidéos est ici, ma voiture sort de carrosserie : http://www.alfanatiques.com/forum/ned52-alfa-145-quadrifoglio-verde-image-vp458019.html#458019Une chose à dire à propos de la 145, c'est qu'elle a complètement changée ma vision de l'automobile.Pour comprendre par où je suis passé, j'ai en premier une Polo 6N 1.4 pack abs, puis une 405 GLD avec ses vénérables 285000 kms, puis ma première 145.En effet première car j'en suis à ma deuxième, la première était une 1.4 Twin Spark, visible aussi sur le forum dans la même présentation.La 1.4, qui fait quand même 103 ch, m'a ouvert à la conduite "musclée", je ne me vanterai pas de conduire de manière, sportive je ne suis pas un pilote. Celle ci j'ai parcouru plus de 30000 km à son volant, et la seule chose sortant de l'ordinaire que j'ai changé c'est le calorstat et le récepteur d'embrayage.Donc déjà ceux qui critiquent la fiabilité de ces italiennes de l'époque, c'est qu'ils n'en ont jamais eu, ou alors ils les entretenaient comme des porcs.En effet, mes deux 145 n'ont jamais eu aucun problème particulier, et les deux réunies j'ai bien fait 50000 km avec en moins de 4 ans. Tout ce qu'elles réclament c'est l'entretien courant, qui doit être fait en temps et en heure, et mettre de la bonne huile dans les Twin Spark. Et c'est tout!Ceci étant dit parlons de ma Quadrifoglio Verde : déjà j'ai mis deux ans à la trouver, elle est très rare en phase 2, et encore plus avec les équipements que j'ai.Ceux qui évoquent les soucis de finition intérieure et notamment le fameux ciel de toi qui se décolle, ceci ne concerne que les premières 145 à moteur boxer, toutes les Twin Spark sont bien mieux finies, et encore plus à partir de 1999, merci les petites touches de chrome, simple mais très agréables!Il y a une différence entre les premières Twin Spark de 1997 à 1999 et celles de 1999 à 2001, les premières étant les blocs en fonte, et les deuxièmes en aluminium, les mêmes blocs que sur 156 en fait.Première surprise quand j'ai essayée la QV à l'achat, c'est les commandes de boite et de pédalier bien plus douces que sur la 1.4.Deuxième, le son, déjà très plaisant sur le 1.4, mais là carrément jouissif sur le 2.0! Et aussi la souplesse, à 1000 tr le 2.0 ne cale pas, alors que déjà à 1800 le 1.4 fait tout brinquebaler. C'est très pratique pour la ville on peut rouler à 50 en 5ème sans soucis.Mais la plus grande différence viens surtout du fait que le 1.4 il faut quand même être pas mal dans les tours pour que ça avance, alors que le 2.0l, peut importe à quel régime, si on appuie ça avance, et ça c'est un régal.Pour faire un descriptif complet de l'auto, je vais simplement reprendre les points de notation de Caradisiac :- Sécurité : pour moi excellente pour l'époque, abs, 4 airbags pour ma part, mais surtout un comportement et des réactions qui vous rassure et ne vous prendra jamais en traître, même si vous roulez vite. Certains diront pas d’esp, je leur réponds la voiture étant à l’origine sortie en 1994 c’est normal, et vu la tenue de route faut vraiment pas savoir conduire pour se planter sans esp !- Budget : je l'ai déjà évoqué, peu d'entretien, certaines pièces sont chères, mais bon vu le nombre de personnes qui roulent en allemandes de nos jours ce n'est plus un point négatif à montrer du doigt sur les italiennes. Et puis ici par exemple on a une voiture qui fait quand même 155 ch, donc gros freins donc ce n’est pas 30 € le disque, mais il faut ce qu'il faut. Quand au budget d'achat, pour moi il est ridicule compte tenu de ce que propose la voiture, comptez maxi 2500€ pour une 145 "standard" en très bon état, beaucoup moins si les kilomètres et l'état sont pas au top. Les QV ? Guère plus chères, la mienne avec 48200 km à l'achat en janvier 2010, et toutes options, m'a couté 3500€. Donnée selon moi, surtout par rapport à ses concurrentes! Par contre comme toute auto essence un poil sportive prévoir le budget essence, comptez 9l au cent en mixte à la monte d'origine, mais ça vaut le coup, sinon achetez des JTD ^^ Par contre conso quasi identique entre la 1.4 et la QV, d'où mon passage à la plus élevée des versions essences aussi. Par contre l'assurance n'est pas trop chère, je paye 850€ à l'année en tous risques avec des options d’assistance et de rajout d’argent à la valeur de l’auto au cas où elle soit classée épave, en sachant que je n'ai que 24 ans.- Confort : très bon selon moi, j'ai effectué 800 km pour aller en vacances en 2010 avec, donc 1600 km aller retour en une semaine sans compter les déplacements là bas, et pas de problème de ce côté. Nuance à apporter aussi, la mienne a le cuir, ici réalisé par MOMO, qui est vraiment agréable on est carrément mieux maintenu que dans les sièges velours "standard" déjà confortables, c’est plus ferme en étant plus confortable. La banquette arrière est sans doute moins confortable, mais propose quand même cinq places, et le 2/3-1/3. Le passager avant à quand à lui une place énorme, grâce à la forme particulière de la planche de bord. Quand à la position de conduite, certes haute ce qui est déroutant au départ, permet une très bonne visibilité et ça c'est un avantage certain!- Conduite : si je devais résumer, pousse au crime! Caradisiac dans la fiche de l'auto évoque un mauvais réglage de la pédale d'accélérateur, moi je dis vous n'avez rien compris : le cœur de la bête est tellement réactif et a tellement envie de monter dans les tours, à peine on effleure, ça part, mais c'est un peu normal on ne parle pas de Scénic Tdci, hdtdi ou quoi là!!! C'est ça aussi le Cuero Sportivo! Concrètement, vous avez là une voiture qui répond au doigt et à l'œil, la direction est ultra précise on place la voiture comme on veut, les virages on les passe à des vitesses folles, il faut juste comme dis avant se méfier du poids de l'auto, et attendre de bien poser la voiture sur les suspensions en virage pour remettre la gomme. Les freins sont terribles, puissant et endurants, et aidé sur les phases 2 d'un répartiteur de freinage, qui permet de bien freiner des quatre roues et d'éviter à l'auto de se coucher de l'avant en freinage appuyé comme c'était le cas sur ma 1.4. Niveau conduite, c’est juste du plaisir à l’état pur, vous accélérez et vous prenez votre pied, c’est aussi simple que ça, on devient accro aux 7000 tr après ! Et la voiture communique bien avec le conducteur, si bien qu’au fil du temps on entre en symbiose avec, la voiture devient un prolongement de votre corps. Un point important, mettez y des bons pneus, très important ! La 145 réclame de la bonne huile et des bons pneus. Je précise que j’ai parcouru bon nombre de milieux routiers avec mes 145, et même en conditions extrêmes elles sont sécurisantes, même par 20 cm de neige avec des pneus été type Michelin Pilot, ça file droit sans glisser ! Avis à ceux qu’on voit aux infos se planter avec 5 cm de neige, même si là je pense que les capacités de conducteur sont un facteur clé ! A l’heure actuelle j’ai des Pilot Sport 3 en 215/45/16.Et justement là-dessus, conduire une 145, c’est acquérir des réflexes qui vous améliorent en tant que conducteur.- Pratique : et bien là bien évidemment, c'est sa forme de break qui la rend pratique, une fois la banquette rabattue on a un sacré espace, et comme c'est carré, c'est facile d'y mettre des choses. Donc bons points, la baquette rabattable et fractionnable, les cinq places, la visibilité très bonne, par contre en point négatif, les vides poches des portes avant qui ne sont pas assez larges donc peu pratiques, et la boite à gants... ridicule qui permet de n'y stocker que le manuel de l'auto, un gilet fluo, un couteau suisse et un paquet de Ricolas dans mon cas!J’ajouterai aussi que Caradisiac a encore fait une erreur dans leur descriptif de la 145, ils disent que l’on ne peut ouvrir le coffre qu’à la clef. Or s’ils étaient mieux renseignés, ils sauraient qu’au pied du siège conducteur il y a une tirette à actionner, et que certaines on même un bouton sur la console centrale à coté des warning, symétrique à celui des antis brouillard avant. Il y a soit l’un soit l’autre, le premier à câble, le deuxième électrique.- Equipements de série : pour l'époque, très complet selon moi : au minimum, 1 airbag, vitres électriques, antis brouillard. Sur la version luxe, on ajoute un deuxième airbag, les rétroviseurs électriques, des jantes alu et la clim semi auto. La version Junior en phase 1 TS propose une sellerie et des jantes spécifiques, et les bas de caisse et l'abaissement de la QV (2 cm). En phase 2, on a les packs luxe et sport, les deux avec les jantes de la junior, les bas de caisse de la QV, une sellerie tissu spécifique très jolie, noire avec Alfa Romeo brodé en rouge sur les dossiers, dans les deux cas tout les équipements de la version luxe, plus pour la sport, l'aileron arrière, et la présentation intérieur de type QV, donc en autre volant et pommeau cuir spécifiques très jolis et agréables à utiliser, mais sensibles à la transpiration, donc attention. La QV donc a en plus un rabaissement de 2 cm et des cales à l'avant pour élargir les voies, et des freins très puissants, 284 mm à l'avant. Bien sûr, on a les petits trèfles, sur les bas de caisses et le coffre. L'aileron pas toujours, mais je dois avouer qu'il lui va bien je suis content de l’avoir! En plus de tout cela à l'intérieur on a donc un volant cuir, spécifique sur phase 2 avec un pommeau assorti, et des compteurs un peu spéciaux aussi y'a du rouge entre les graduations. Ajouter à cela en option, le toit ouvrant, et la sellerie cuir et vous avez tout! Les laves phares présents sur les photos Caradisiac n'ont pas été disponibles en France, si vous en voyez une avec, c'est qu'elle vient probablement d’Allemagne, où on trouve beaucoup de Quadrifoglio, plus qu'en Italie ou ici.- Qualité de la finition : le point qui divise. Déjà ça tient dans le temps, pas de couac bizarre comme j'ai pu avoir dans ma 405 ^^ Le seul point négatif serait l'insonorisation, au niveau moteur pas besoin de plus, par contre les bruit de vents à haute vitesse sont bien présents, trop. Après l'assemblage, bien qu'en dessous des allemandes, est correct, la qualité des matériaux aussi. Seul point négatif à l'intérieur, ce foutu cendrier de la console centrale qui finit par rester tout le temps ouvert. Mais après pour moi c'est plus que correct! Et la qualité des sièges MOMO en cuir est extraordinaire, les miens ont beaux avoir 11 ans ils paraissent neufs, aussi bien d'aspect que de maintien.- Fiabilité : mettons à bas les préjugés de ceux qui n'ont jamais eu d'italienne, la fiabilité est ici excellente, tant qu'on respecte l'entretien standard. Et dans le cas des Twin Spark, bien remplacer l'huile moteur tous les 10000 km, c'est un moteur sur qui l'état et la qualité de l'huile utilisée a beaucoup d'effet. Le point qui fâche, et qui est le point noir du Twin Spark si on n'y fait pas attention, c'est la distribution. En effet les galets ne sont pas très costauds, et à chaque changement de courroie il faut tout changer y compris pompe à eau, sinon la courroie neuve qui tire fort va faire casser des galets et pompe à eau usés. Et Caradisiac renseignez vous mieux, effectivement sur les 2.0, au départ alfa préconisait 120000 km, mais après deux changements c'est finalement tous les 60000 km qu'il faut changer la courroie! Combien a-t-on vu casser de 2.0 TS à cause de cela...Les autres TS à priori c'est 80000 km. Ce que j'ai pu constater, c'est les calorstats qui ne sont pas très endurants, mais la pièce est peu coûteuse, et le récepteur d'embrayage à mon sens mal conçu, il n’est pas très costaud. Le débitmètre peut parfois poser soucis, mais par rapport à d’autres voitures il est peu couteux aussi. Le variateur de phase pose aussi soucis sur certains TS kilométrés, mais en général peu de conséquences, juste un bruit de diesel pendant quelques secondes après avoir tourné la clef. Sinon rien d'autre à signaler, ce n'est pas une voiture qui coute cher.- écologie : les émissions : 210 gr/km de CO2. Pour un moteur aussi puissant et qui a déjà 13 ans puisqu’il est apparu sous la 156 un an avant la 145, ce n’est pas si mal. Et puis honnêtement, même si la JTD n’en émet que 152, on n’achète pas une voiture telle que la QV pour ses émissions, à bon entendeur !- originalité du design : pour moi, très original, pas tape à l’œil, mais original c'est différent. En effet de loin, l'auto paraît jolie sans forcément sortir du lot, mais par rapport à la 146, la version 5 portes, la 145 se démarque dans le détail : - toute la partie arrière sans montant de vitre - le pare brise arrière en V sur le bas - le décalage au niveau des vitres avant, qui à l'intérieur donne l'impression d'avoir plus d'espace - les pare chocs de la phase 2 la rajeunissent bien je trouve elle fait beaucoup moins carrée - le capot nervuré en V avec la calandre dans la pointe - à l'intérieur, la découpe de la planche de bord, qui donne cet énorme espace aux jambes au passager (bien que castrateur pour la boîte à gants) - les aérateurs ronds, aujourd'hui très répandus mais pas vraiment à l'époque - les sorties d'échappement oblongues de série sur les 1er Twin Spark - la série spéciale 500 Limited allemande qui comporte des jantes 16" Zender Le Mans et une sortie oblongue assez grosse et jolie.Au final, c’est une auto qui vieilli bien, moi la mienne quand je dis au gens qu'elle a 11 ans, au départ personne ne me croit, en rajoutant des clignotant latéraux blanc à une phase 2 elle ne fait pas du tout son âge pour peu qu'elle soit bien conservée.On en arrive donc à se qui fait la force du design de beaucoup d'Alfa Romeo, un design élégant sans être tape à l'oeil, et qui fait réagir que ce soit dans un sens où dans l'autre, je crois que seules les 147, 156 et 8C font l'unanimité.Voici donc pour les point Caradisiac, je pense que j’ai bien détaillé ^^Pour finir je vais parler de ma 145, car je l’ai un peu améliorée sans que ça ne soit encore terminé.Déjà sur le plan esthétique, j’ai donc remplacé les clignotants latéraux de série par des blancs de chez Novitec, cela permet de rajeunir un peu la voiture à somme très modique.Pour allier esthétique et performance, j’ai acheté d’occasion un jeu de jantes Zender Le Mans, jantes d’une série limitée allemande à 500 exemplaires, la 500 Limited. Elles sont relativement jolies, et me permettent surtout de monter des Michelin Pilot Sport 3, pneu certes cher, mais avec un grip sans pareil, un silence de roulement fort appréciable, et surtout un pneu sport qui n’est pas fumé en 10000 km ! Je les ais en 215 / 45 R16. Sans forcément mettre des pneus aussi hauts en gamme que mes Michelin, en 15 pouces à la taille d’origine (195/55), les Hankook V12 Ventus m’ont l’air excellents, le Michelin Pilot Exalto 2 étant un peu dépassé quand à lui.Pour la performance, j’ai optimisé les freins. En effet comme on l’a dit, le poids de la 145 fait que pour en tirer parti il faut conduire en freinages tardifs, donc solliciter énormément les freins. Ceux si ont d’origine suffisamment de puissance les disques avant étant de taille assez généreuse, mais l’endurance n’était pas au rendez vous. Tout ceci à donc été remplacé par des disques Brembo Max et des plaquettes Ferodo DS Performance, aussi bien à l’avant qu’à l’arrière, et le liquide par du Motul RBF 600. Et là même au bout de 2h, les freins sont toujours là, le temps entre chaque virage est suffisant pour leur permettre de refroidir suffisamment, et le liquide a un point d’ébullition assez haut (315°). Et l’avantage par rapport à d’autres freins sport, où à l’ajout de durites aviation, c’est que au quotidien c’est agréable, pas radical, mais quand on a besoin de taper dedans on sait qu’ils sont présent, et on se sent vraiment en sécurité quand on exploite la voiture.Pour le son, j’ai monté une ligne d’échappement en acier CSC, qui présente l’avantage de coûter le même prix que la ligne d’origine chez Alfa Romeo (la pièce Alfa est en un seul morceau à partir du catalyseur) et d’être homologuée. Donc un intermédiaire regroupant le silencieux avant et le central, puis le silencieux arrière. J’aurai aimé du Supersprint, mais ils n’en produisent plus, et Ragazzon ne me tentai qu’à moitié, car même si c’est de l’inox, cela représente un coût, mais aucune sortie ne me convenait, trop tuning à mon goût. Car la force de cette ligne CSC, c’est d’exister en sortie oblongue, certes grosse, dans mes souvenirs 14 cm de largeur, mais aussi large que l’embout monté sur les 145 500 Limited, donc avec les jantes de celle ci, tout s’accorde à merveille. Et le son est magnifié, autant à haut régime, c’est toujours le bonheur d’aller chercher les 7000 tr, autant à bas régime, c’est complètement différent, très grave et rauque, une fois la ligne rodée (environ 2000 km dans mon cas).Je ne parlerai pas de sono, c’est un choix personnel qui n’a rien à voir avec l’auto. Par contre, j’ai un catalyseur sport CSC prêt à être monté une fois le CT passé en janvier (pas homologué oups ^^), je pense aussi toucher à l’admission d’air, une BMC CDA me tenterai bien, et après tout cela une reprogrammation histoire de tirer parti de tout cela. Me reste aussi à changer les amortisseurs, et là ça sera des Bilstein B6, cependant je ne la rabaisserai pas plus, elle est déjà très basse et vivant à la campagne, je ne veux pas prendre de risque inutile.Dans tout les cas, même d’origine, on a là une auto fantastique, qui donne énormément de plaisir à son conducteur, avec laquelle on peut vraiment se faire plaisir sans se sentir en danger, à condition bien sûr d’entretenir sa voiture, et d’y mettre des bons pneus.Et la force de cette 145, c’est aussi une extrême polyvalence, elle est très agréable à vivre au quotidien et on peut faire plein de choses avec, des trajets quotidiens pour aller au travail, au grands trajets pour aller en vacances, en passant par les sorties un peu moins éloignées, seul ou avec 4 autres personnes. La forme de la poupe permet même banquette rabaissée, de charger un peu, et personnellement cela m’a bien servi pour déménager. Sans parler aussi de sa tenue de route sur sol mouillé et la neige, certes dépendante de la qualité des pneus, mais si cette condition et respecté, on se sent en sécurité.Et le tout à un coût fort raisonnable, pour moins de 3000€ cherchez des compactes sportives polyvalentes, très GTI en fin de compte, aussi bien équipées, et aussi agréable à vivre, entre 1995 et 2000 ? A mon avis il y en a peu, très peu ! En fait à ce prix je ne vois que la Golf 3 GTI, mais pour en trouver une en aussi bel état que la mienne, il faut chercher et à mon avis elle sera vendue plus autour de 5000€ dans ce cas, prix auquel on a soit une Golf 4 GTI ou une 306 S16, donc sur le plan qualité/prix, la 145 est pour moi imbattable.Et encore un fois, ce n’est pas une voiture que l’on conduit, mais une voiture que l’on vit.Voilà j’espère que cet avis pourra être utile, j’ai bien tartiné mais je voulais que ce soit complet, si vous avez une question n’hésitez pas dans les commentaires.

145 2.0 QUADRIFOGLIO (1998)

Par §a l722tX le 02/11/2011

La 145 dans sa version la plus aboutie, est une voiture qui a déjà pour moi un look. Une sorte de break de chasse coupé au lignes originales perso j'adore. A l'intérieur aussi on se sent bien , l'ergonomie est bonne on est à son aise et étrangement pour un voiture de sa catégorie même pour de long périple n est vraiment à l'aise. Juste un reproche le siège conducteur est un peu haut à mon goutCeci dit ce n'est pas tout faut que ça roule, et là la 145 est à son aise aussi bien pour rouler de manière fluide et docile où sa conso est très contenue, comme sur du plus rapide où le son de son moteur vous fera de toute façon affiché un rictus de satisfaction. La puissance arrive de manière linéaire mais les montés en régime sont efficaces, de bonne volonté et la réaction est immédiate à croire qu'elle attends que de taquiner le bitume.Le comportement est sain, vif, l'arrière est vissé au sol ce qui est moins le cas de l'avant pour être franc. Car on aborde là un défaut/qualité de la voiture du moins une particularité à double tranchant: la voiture est sensible au transfert de masse pour notre plus grand bonheur mais pour être exploité à fond l'avant demande à être chargé en courbe. En clair pour en tirer le meilleur faudra vous mettre au freinage tardif et rentrer sur les freins. Alors certes en cas de bagarre en peloton ou en train d'en découdre avec une autre voiture c'est un avantage remarquable aussi bien pour l'attaque que la défense seulement le revers de ma médaille est que l'on ne doit pas oublier que l'on circule avec cette voiture sur route ouverte. Seulement notre point fort est une technique difficile à maitriser et surtout qui ne pardonne pas l'erreur, ce que nous ne pouvons nous permettre sur la route.Un mot sur la fiabilité, dans mon cas au delà de toute espérance puisque j'ai acheté cette voiture à 80 000 km dans son jus et une fois remise droite elle a été une fidèle monture qui ne m'a jamais laché jusqu'à ce que je me fasse expédier dans le décor à 273 000 km. Pendant tout ce temps jamais une panne uniquement de l'entretient de base je n'ai eu à changer ni un embrayage ni un alternateur rien à dire. En dehors de filtres vidanges plaquettes pneus bougies courroies j'ai change la batterie une fois amortisseurs pareils un roulement arrière et une durite d'essence percé? ce qui est plus qu’honnête en 190 000 km tout de meme. Le comble est que mon moteur a été récupéré, mis dans une autre et...il tourne toujours comme une horloge aujourd'hui (ce n'est pas un hasard je pssède un autre 2.0 ts qui a presque 390 000 km aujourd'hui et pareil une durite d'essence sinon comme une montre).Des petits désagrément tout de meme le ciel de toit qui tombe, les freins qui colle facilement quand il fait froid et un ralenti parfis irrégulier (capteur de phase c'est la maladie) ou des clignotant capricieux.En résumé une voiture avec un petit supplément de quelque chose de non quantifiable que je ne peux que regretter et une des dernière alfa à avoir le coeur sportif en elle. Fiable contrairement à ce que l'on pense et très bien équipé surtout pour l'époque. Bref un fidèle destrier pour un prix ridicule qui devient denrée rare...

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