Edo Compétition n'est pas sectaire et s'attaque à une multitude de marques automobiles, de Ford et VW à Ferrari, Porsche ou encore Aston Martin. Après avoir retouché la DB9, il eut été stupide de ne pas se pencher sur le cas de la DBS très voisine.
D'origine, la DBS produit 517 ch et 570 Nm de coupe pour cruiser à plus de 300 km/h. Une fois passée dans les mains des ingénieurs de la maison d'Ahlen, les données changent. En retouchant simplement la gestion électronique, la ligne d'échappement (à valves bypass ) et les filtres à air, la DBS by Edo grimpe à 550 ch et 600 Nm, ce qui commence à être tout juste acceptable. La v-max tutoie ainsi les 320 km/h et le 0 à 100 km/h s'abat en 4.1s. Pour ne pas se faire ridiculiser par une Nissan GT-R, c'est un minimum.
Pour faire les choses bien ,Edo ajoute un système de freinage aux dimensions majorées (étriers 6 pistons disques de 405 mm devant), des roues de 21 pouces, une suspension sport réglable alors qu'à l'intérieur, le choix pour le client est varié entre les nombreux cuirs, les placage carbone et les couleurs au catalogue.
Pour le reste, comme à l'accoutumée, cela reste très sobre. Et concernant une Aston Martin DBS, c'est tant mieux vu qu'elle est déjà très chargée d'origine.
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