Star du stand ibère, on savait déjà tout de cette nouvelle Seat Leon bien avant que le rideau du Mondial de l'Auto 2012 se lève, et la première chose qu'on peut lui accorder, c'est de ne pas ressembler du tout à son aînée dessinée par Walter Da Silva, puisqu'elle s'accorde au nouveau style de la marque.
Construite sur la même base que la Volkswagen Golf 7, il n'est donc pas étonnant de retrouver les mêmes multiples mécaniques, que ce soit essence (1,2 TSI de 86 et 105 ch, 1,4 TSI de 122 ch, 1,8 TSI de 180 ch sans oublier une version Cupra avec un 2,0 TFSI donnée pour 270 ch) ou en diesel (1,6 TDI 90 et 105 ch, 2,0 TDI 150 et 184 ch). Question habitabilité, si elle est plus courte de six centimètres que la Leon 2, elle grandit d'autant en empattement, une bonne nouvelle pour l'habitabilité.
Question prix, le prix d'appel est de 15 290 € pour le TSI 86 ch, il faudra débourser 17 745 € pour le même moteur avec la finition Référence et 22 400 € pour la FR 122 ch. Pour les fameux feux LED, il faudra débourser entre 900 et 1 000 € pour l'avoir en option, mais on nous promet une série spéciale en janvier qui l'aura de série.
Instant Caradisiac
J'ai les mêmes à la maison, donc Leon est revenue pour une troisième génération, et elle a subi, une fois n'est pas coutume, un joli ravalement de façade qui fera oublier sans peine la Leon 2 et ses faux airs de Renault Velsatis à la mode bio design. Joli, mais pas non plus original, puisqu'elle ressemble maintenant nettement à ses cousines dont elle partage les entrailles, comme l'Audi A3, et à sa cadette Ibiza. On apprécie cependant beaucoup les veines saillantes sur le capot, celles démarrant des ailes avant pour mourir sur les portières ou celles sur les ailes arrière, un détail stylistique déjà connu chez Seat mais particulièrement bien intégré sur cette Leon. Un bon choix pour celui qui cherche une allemande à l'accent espagnol.
Twitter : @PierreDdeG
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