On retrouve fort heureusement sur cette version découvrable les lignes à la fois classes et sportives du coupé. Le charme opère encore une fois, et l’on pourra profiter des vocalises du terrible V12 6.0 de 573 ch les cheveux au vent, après avoir replié la capote triple épaisseur en 14 secondes chrono.
Concernant les caractéristiques notables, on peut citer une diminution du poids de 14 %, grâce à un châssis en aluminium, et des éléments de structure et de carrosserie en fibre de carbone, amaigrissement qui permet de réduire aussi la consommation et les émissions de CO2. Mais qui s’en soucie vraiment pour ce type de voiture ? À noter que c'est aussi la plus rigide des Volante jamais produite à Gaydon, berceau de la marque. Cela dit elle pèse tout de même officiellement 1 844 kg, soit 9 de plus que le coupé.
Le volume de coffre de 279 litres est le même que la capote soit en place ou non et pour les passagers, on retrouve à bord le même luxe et la même sportivité qu’à bord du coupé. C'est une 2+2, mais à l'arrière, on sera soit minot, soit cul-de-jatte, soit… un bagage.
Contre un chèque de 265 000 € environ minimum, vous pourrez repartir avec. Environ 4,3 secondes plus tard vous serez à 100 km/h, pour finalement pointer à 294 km/h, sur autoroute allemande.
L'instant Caradisiac : bestiale
Elle en impose cette Vanquish, que ce soit en version coupé ou en version Volante comme ici, puisque c'est la nouveauté. Esthétiquement, elle arrive à se démarquer un peu des autres modèles de la marque, qui ne sont pour moi que des photocopies les unes des autres. La Vanquish, qui est virilisée, évite cet écueil. Le bouclier avant est tout simplement bestial et l'aileron arrière prolonge la ligne juste comme il faut. Dommage de ne pouvoir en profiter pleinement qu'à 2. Les amis seront jaloux.
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