Oui, l’une n’ira pas sans l’autre.




Sur ce, bonus lecture (« BL ») oblige, je vous propose de sauter (derechef) sur la suite du premier chapitre du livre 24 Heures. Voici donc :

« - Heu… Peut-être bien un tout petit peu, quand même avoua-t-il.

Le père fronça les sourcils. Sa voix, derrière les grosses moustaches, prit une sévérité militaire.

- Allons, de la vigilance, moussaillon ! On ne s’endort pas au poste de vigie ! Tu n’es pas sur l’impériale de l’omnibus Batignolles-Courcelles, mais sur la route, en rase campagne, à l’avant d’un engin qui fonce à quarante-cinq kilomètres à l’heure ! Te rends-tu bien compte de ce que c’est quarante-cinq kilomètres à l’heure ? Un bolide ! Un véritable bolide ! N’importe qui ne serait pas capable de conduire à de telles vitesses. Cela demande de grandes qualités physiques, une vue perçante et exercée, des réflexes prompts comme la foudre, et surtout un sang-froid véritablement britannique. Il y faut encore un équipier vigilant, toujours prêt à signaler les embûches de la route ou les bruits anormaux du moteur… Et toi, tu t’endors ! »


Bien, il me semble que nous avons pris la mesure du genre de littérature en branle dans ce livre. Pour notre prochain « BL », nous pourrons entamer un autre ouvrage. Les paris sont ouverts.