Ils sont partis hier de Genève et s'arrêteront à Lisbonne, à Cancun, à Los Angeles, à Vancouver ou encore à Moscou. Leur périple durera 80 jours, comme dans le roman de Jules Verne ; 5 équipes venues des quatre coins du monde participent ainsi à cette course un peu particulière puisque les véhicules engagés sont tous électriques et n'émettent ainsi aucun gaz à effet de serre.
C'est une histoire d'écologie, bien sûr, mais aussi d'enthousiasme et de mobilité. Qu'ils viennent de Suisse, de Belgique ou de Corée du Sud, tous les participants à la Zero Emission Race ont un objectif unique : démontrer que le futur peut être « vert » et susciter des vocations partout où ils s'arrêteront. L'étape la plus importante sera sans doute celle de Cancun, en novembre, où se tiendra la Conférence des Nations Unies sur le réchauffement climatique.
Et puisqu'il s'agit de mettre en avant la possibilité de se déplacer sans encourager le réchauffement climatique sans toutefois sacrifier à l'efficacité, les équipes seront une fois la ligne d'arrivée franchie jugées sur le nombre de réparations effectuées durant la course, l'efficacité énergétique de leurs véhicules, la popularité de ces derniers ainsi que sur leur puissance et leur vitesse moyenne. Le comité d'organisation prévoit également un programme de compensation carbone pour les émissions qui n'auront pu être évitées.
Vous pouvez suivre la course sur le site Internet de l'événement, sur son Twitter ou sur sa page Facebook. Lisbonne
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