de deux de nos journalistes.
Alexandre Bataille s'est laissé séduire par la Honda Civic type R. S'intéressant généralement plutôt aux autos de Monsieur-Tout-le-Monde, Alexandre couronne celle qui justement vient de battre le record du tour dans son segment au Nürburgring. Son carton rouge est attribué à la DS 5 restylée dont le lifting ne correspond pas, selon lui, aux ambitions haut de gamme de la marque.
Olivier Pagès n'est pas tendre non plus avec Citroën mais également avec Peugeot et Renault. Que reproche Olivier aux constructeurs français ? Leur frilosité. Depuis le salon de Paris d'octobre 2014, ils n'ont, en effet, montré que des restyling. C'est Ford qui a fait frémir Olivier, plus exactement sa GT, « mélange parfait entre tradition et modernité ».
Une fois n'est pas coutume, Pierre Desjardins fait des infidélités à son adorée Mazda MX 5 en déclarant sa flamme à l'Aston Martin V12 Vantage S GT3. Mais comme le nom d'Eliot Ness est gravé sur son front, il ne pouvait pas flatter le constructeur britannique sans, dans le même temps, critiquer l'Aston Martin DBX.
François Chapus, lui, reste proche des préoccupations des « vrais » automobilistes, ceux qui roulent en citadines par exemple. Et se projetant ainsi, il nous explique pourquoi la nouvelle Opel Karl lui est restée en travers de la gorge. Du coup, il préfère rêver devant un concept, en l'occurrence le Nissan Sway, voiture qu'il trouve « effilée et jolie ».
Pour finir, Patrick Garcia et Manuel Cailliot vont devoir faire preuve de générosité car ils ont eu un coup de cœur pour la même auto, la nouvelle Honda NSX; Patrick l'a trouvée « aérienne » tandis que Manuel s'est extasié devant sa silhouette avant de décerner son flop à la BMW Série 2 Grand Tourer qu'il trouve « stylistiquement indigne de BMW ». La palme du flop revient pour Patrick à l'une des stars du salon, la Ferrari 488 GTB, qui ne gagne pas, selon lui, à ne pas avoir été designée par Pininfarina.
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