Il est bien 22 heures et, en la matière – sinon à la faveur – des neuf premiers mots du MC de ce soir, j’ai placé deux concepts badiouisiens fondamentaux : la fidélité (à un événement) et la coupure/coupe ; preuve s’il le fallait que nous tenons notre ligne. L’événement de cette semaine, à l’intérieur de nos chicanes, consiste à filer la métaphore autour de l’œuvre du philosophe français contemporain le plus connu : Alain Badiou (voir référence du MC de lundi dernier).
Mais l’événement du jour c’est, incontestablement, « l’exclusion » de PSA Peugeot Citroën du CAC 40 (un « super indice » d’actions d’occasion). Ah mais oui ! quelle affaire nous tenons là. Non, mais figurons-nous un peu, c’est la « cata. », c’est la honte, le déshonneur de la France, l’opprobe portée sur des générations et des générations de membres de la famille Peugeot.
Eh bien… non. Prenons ici si vous le voulez bien le contre-pied. Et pas seulement pour une question de posture. Considérons cette « éviction » comme une chance ; celle pour PSA de se reconstruire, de se refaire une santé à l’écart des affaires boursières et médiatiques qu’impliquent une présence, une cotation, au CAC40.
OPSAPSA, comme vous pouvez l’imaginer, se poursuit…
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