Notre journaliste-trublion au Mondial de l'auto avant l'ouverture !

Notre journaliste-trublion Aymeric a réussi à pénétrer les portes du Mondial de l'auto la veille de son ouverture à la presse. Une aventure cocasse ponctuée de cascades, de course-poursuite en fenwick sans oublier de drague improvisée envers les charmantes hôtesses du Mondial.

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Il est 12h, l'heure pour notre reporter de se mettre à table pour franchir le portail du parc expo de Paris Porte de Versailles qui abrite le Mondial de l'auto 2006. Son bagou démesuré a suffi à convaincre un vigile crédule situé à une entrée peu fréquentée. Notre aventurier fait son incursion dans l'antre du monde automobile. Sa première facétie consiste à trouver le vestiaire des hôtesses. On a beau être journaliste, on en reste pas moins homme ! Manque de chance pour notre reporter de choc, il se retrouve dans le vestiaire des hommes à savonner le dos des agents de sécurité.

Après cette expérience virile mais pas désagréable, il tente de faire du charme à une dame pipi. Cette dernière ne semble pas convaincue par son pouvoir de séduction. Trève de plaisanterie. Il est temps pour lui de découvrir les nouveaux modèles qui feront le bonheur des spectateurs dans quelques jours.

C'est sur un Fenwik emprunté à l'un des manutentionnaires, qu'il arpente les allées du Hall 1. Brusquement, il semble intrigué par un véhicule bâché situé sur le stand de la marque roumaine Dacia. C'est la Logan Break. Aymeric tente de négocier avec l'agent de sécurité pour entrevoir quelques éléments comme le phare, une jante, un rétro.Mais en vain. Il obtiendra toutefois son numéro de portable !

Ne lui faisons pas une fausse réputation, Aymeric aime les femmes et il nous le démontre (le bougre) en présence d'une trentaine d'hôtesses. Avec son mètre soixante-dix, notre journaliste émérite se retrouve très vite dans un troupeau de jeunes femmes gigantesques. C'est la mêlée. On ne l'aperçoit plus. Aymeric prend un bain de Mannequin. Dure la vie de journaliste auto.