Saleté de Need for Speed 2. Ce jeu a été le départ de mon addiction aux voitures de rêve... Ce n'était pas tant le jeu en lui même (qui, si j'y rejouait aujourd'hui, me donnerait sûrement une attaque cardiaque tant ça a mal vieilli), mais c'étaient surtout les cinématiques avec des images absolument merveilleuses de ces autos qui me faisaient rêver.
Car ou pouvait-on voir d'aussi belles images de ces supercars, si ce n'était sur nos écrans ? Depuis, la donne a bien changé avec l'avènement du net. Désormais, nous avons un Eddy qui nous a shooté à peu près tout ce qui roule et qui dépasse les 300 km/h (d'ailleurs, il faudra que je voie s'il lui manque quelque chose dans sa collection...)
Quoi qu'il en soit, voici encore quelques clichés de celle qui gardera, comme d'autres 5 étoiles / 5 possibles dans tous les magazines dignes de lui décerner un classement.
Un récent essai du magazine Evo nous a montré que si les supercars modernes étaient bien plus efficace, le plaisir de conduite était incomparable à son volant. Le moteur qui réagi au millième de seconde, sans inertie aucune, le levier de vitesses au débattement parfait, la vision à bord elle aussi parfaite, elle était tout simplement unique en son genre, à l'époque.
Difficile de croire que plusieurs années après, McLaren n'ait pas su réaliser une fois de plus ce tour de force. Peut-être que le public visé n'était pas le même...
Une chose est certaine, si vous arrivez à convaincre votre banquier de vous prêter l'argent pour en acheter une, vous lui direz merci au moment de la revente, la cote de ces F1 n'arrêtant pas de monter. La barre des 10 millions d'euros ne devrait pas lui faire peur...
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