Allez, aujourd'hui, vous allez vous débrouiller avec une photo qui est déjà bien parlante, pour débusquer une auto assez chantante. En parlant de musique, de gros indices se situent ci-dessous dans une petite perle de la variété française, au tempo endiablé, et aux paroles hautement philosophiques. Bon week-end.


Vision d'orage,

J'voudrais pas qu'tu t'en ailles.

La passion comme une ombre,

Fallait que j'y succombe.

Tu m'enlaçais,

Dans les ruines du vieux Rome.

A part nous, y a personne.

Seul le tonnerre résonne,

M'emprisonne,

Tourbillonne.

Comme un ouragan

Qui passait sur moi,

L'amour a tout emporté.

T'es restée, l'envie

Et l'accent d'furie

Qu'on ne peut plus arrêter.

Comme un ouragan,

La tempête en moi

A balayé le passé,

Allumé le vice.

C'est un incendie

Qu'on ne peut plus arrêter.


Vision d'image

D'un voyage qui s'achève

Comme une nuit sans rêve,

Une bataille sans trêve,

Cette nuit à Rome.

Ton absence me dévore

Et mon cœur bat trop fort.

Ai-je raison ou tort

De t'aimer tellement fort ?


Comme un ouragan

Qui passait sur moi,

L'amour a tout emporté.

T'es restée, l'envie

Et l'accent d'furie

Qu'on ne peut plus arrêter.

Comme un ouragan,

La tempête en moi

A balayé le passé,

Allumé le vice.

C'est un incendie

Qu'on ne peut plus arrêter.


Désir, trahir, maudire, rougir,

Désir, souffrir, mourir, pourquoi ?

On ne dit jamais ces choses là.

Un sentiment secret, d'accord,

Un sentiment qui hurle fort.


Comme un ouragan,

La tempête en moi

A balayé le passé,

Allumé le vice.

C'est un incendie

Qu'on ne peut plus arrêter.

Comme un ouragan

Qui passait sur moi,

L'amour a tout emporté.

T'es restée, l'envie

Et l'accent d'furie

Qu'on ne peut plus arrêter.

Comme un ouragan,

La tempête en moi