Un repos qui s'étalera du 16 février au 6 mars pour un site capable de sortir 180.000 voitures à l'année. Une frustration pour un losange qui redresse pourtant la tête et s'inquiète de la situation de ce qui est son troisième débouché. Et ce d'autant plus que la situation lui a fait perdre 4% sur son titre en bourse. Ceci dit, Renault n'est pas le seul dans cette galère.
La General Motors va suspendre les activités de son site à Saint Petersbourg du 23 mars au 15 mai. Pour Volvo, c'est pire. On a arrêté de travailler dans l'usine de Kalouga depuis le 11 février sans qu'une perspective de reprise n'ait été donnée. 150 employés sont même passés à la trappe. Et pour cause : en janvier, les ventes automobiles ont chuté de 24,4% par rapport à la même période un an plus tôt.
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