Pour convaincre, l'auto mise sur une ligne racée et dynamisée par une ligne de caisse haute. Son Cx de 0,26, valeur faible s'il en est, témoigne du soin considérable apporté à l'aérodynamisme, au profit conjoint des performances et des consommations.
Abaissé de 15 mm par rapport à la berline, le coupé repose sur des roues d'un diamètre minimal de 17 pouces. Bien sûr, des modèles de taille supérieure sont disponible en option ou en série à mesure que l'on monte en gamme. La suspension pilotée est fournie d'office, et un amortissement pneumatique proposé en option.
Sous le capot, uniquement des blocs 4 cylindres dans un premier temps. En essence, on a le choix entre un bloc 1.6 (156 ch) et un bloc 2.0 (184, 211 ou 245 ch ). En diesel, le même moteur 2.2 délivre au choix 170 ou 204 ch.
Des puissances d'un niveau respectable, en tous les cas amplement suffisante dans le cadre d'une utilisation "bourgeoise". Les acheteurs potentiels seront probablement plus sensibles à l'impressionnant arsenal technologique embarqué. L'on citera ainsi simplement la conduite autonome dans les embouteillages, le radar anticollision (de série) couplé à un système de freinage autonome, ou bien encore une climatisation qui, fonctionnant de concert avec le GPS, ferme automatiquement les volets d'aération quand l'auto entre dans un tunnel, pour les rouvrir à la sortie. Une voiture attentionnée, donc, qui accueille ses passagers avant avec des approche-ceintures automatiques, selon la tradition des coupés maison.
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