M. X a 80 ans, il est assuré dans la même compagnie depuis plusieurs dizaines d’années. Lorsqu’il achète sa Megane CC, il décide de lui apporter un surplus d’agressivité en lui offrant un léger kit Esquiss’Auto. Ces éléments carrosserie réputés pour leur qualité de fabrication n’ont rien du bricolage, ils se montent sans modifications en reprenant les fixations d’origines, et ne modifient en rien les caractéristiques techniques du véhicule.
Tout se passe bien jusqu'à un banal accrochage de la circulation, a la suite duquel le propriétaire de cette Megane attend le passage d’un expert. Sa réponse qui arriva par courrier fut pour le moins surprenante : « En vertu du décret de la loi numéro R326-2 relatif aux règles professionnelles des Experts en Automobile, l’Article 2 stipule que nous devons informer sans délais le propriétaire des déficiences du véhicule ainsi que les défauts de conformité du véhicule ou d’homologation d’accessoires non conformes aux homologations constructeurs etc ..» Concrètement l’expert se transforme en juge et condamne le pauvre automobiliste, avec une obligation de remise en conformité (donc d’origine).
Difficile a avaler en sachant que ce ne sont pas des boucliers différents qui sont susceptibles de détériorer les qualités dynamiques d’un véhicule, de provoquer un accident, ou même de nuire à la sécurité des occupants.
Même si vous n’êtes pas accroc au tuning pur et dur, donnez-nous votre avis sur cette anecdote qui en fin de compte concerne tous les automobilistes roulant avec un véhicule préparé et/ou modifié.
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