A l’issue du Rallye d’Allemagne remporté pour la sixième fois par Sébastien Loeb, Citroën n’avait qu’un sourire un tantinet crispé au pied du podium. Certes, le championnat pilote était relancé, mais celui des constructeurs tout autant compromis. La faute à une série de casses moteur, dont, par chance, le leader de la marque aux chevrons n’a pas eu à en subir les affres. Du moins jusque là.
Pour Sordo en revanche, il a été servi deux fois consécutivement tandis que Stohl a aussi eu sa ration. Le problème se situe au niveau du bloc, un bloc qui, depuis cette année, doit réglementairement venir de la série.
Comme le dit Frequelin, « les contraintes en compétition n’étant pas les mêmes qu’en utilisation classique, il arrive parfois de mauvaises surprises. » Des surprises par définition difficiles à anticiper et que n’arrivent pas à éradiquer la batterie de contrôle préalable à l’utilisation de la mécanique. C’est donc avec cette incertitude que s’élancera Loeb dans les spéciales de la Nouvelle Zélande. Car il faut déjà envoyer le matériel aux antipodes.
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