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À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Dans Nouveautés / Nouveaux modèles

Paul Pellerin

La nouvelle génération du SUV Peugeot 3008 existe désormais en version 100 % électrique. Le nouveau Peugeot E-3008 est donc disponible en trois versions sur batteries, une de 210 ch, une autre de 230 ch et une version quatre roues motrices de 320 ch. Aujourd’hui, seul le Peugeot E-3008 de 210 ch est en vente, il affiche 525 km d’autonomie. Une autonomie, qui est bien difficile à atteindre dans la réalité. Pour un gros rouleur ou en cas de départ en vacances, passer une grande partie du trajet à recharger peut se révéler long et fastidieux, voilà pourquoi dans ce nouvel article « À contre-courant » nous vous proposons trois alternatives à moteur thermique au Peugeot E-3008.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

À contre-courant

Les eurodéputés l’ont décidé : plus aucune voiture neuve, essence, hybride ou diesel ne pourra être commercialisée à partir de 2035. Place donc aux voitures électriques dont les ventes augmentent, mais qui ne représentent pour l’instant qu’un peu plus de 2 % du parc roulant en France.

Mais encore trop cher ces voitures électriques ? Pas assez autonomes ? Sans doute, et c’est pourquoi Caradisiac vous propose de ne pas oublier le « thermique » si vous souhaitez acheter une auto, qu’elle soit neuve ou d’occasion. D’ici à 2035, vous avez encore le temps de faire vos emplettes dans les gammes thermiques des constructeurs.

Vous êtes d’ailleurs nombreux à avoir fait ce choix. Ce n’est pas un hasard si le diesel représente (sur l’année 2023) encore plus de 70 % des carburants distribués en France et qu’il représente 50 % des achats de voitures d’occasion. En revanche, il est en baisse en ce qui concerne les voitures neuves (l’offre des constructeurs se réduisant aussi) passant de 15,8 à 9,7 % en 2023. Quant à la voiture à moteur essence elle représente encore 36,2 % des ventes en 2023, les motorisations hybrides (full hybride, mild hybride et hybride rechargeable) atteignant désormais les 33,3 % des ventes de voitures neuves.

Avec sa rubrique « À contre-courant », et au-delà du jeu de mots, Caradisiac veut attirer votre attention sur des modèles thermiques plus intéressants que leurs concurrents électriques. Non, le « thermique » n’est pas mort.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Le courant » : Peugeot E-3008 210 ch, batterie 73 kWh, finition GT à 46 990 € (Bonus : - 4 000 €).

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

La troisième génération du Peugeot 3008 se modernise et accueille au sein de sa gamme des motorisations 100 % électriques. Ainsi motorisé, le SUV du Lion se transforme en Peugeot E-3008. Celui-ci est disponible en trois versions, une de 210 ch et batterie de 73 kWh pour 525 km d’autonomie, une de 230 ch et batterie de 98 kWh pour 700 km d’autonomie et une dernière qui adopte une architecture quatre roues motrices avec deux moteurs électriques d’une puissance de 320 ch associés à une batterie de 73 kWh pour une autonomie de 525 km. C’est la première version de 210 ch, la seule en vente actuellement, que nous avons pu tester. Le nouveau Peugeot 3008 et sa variante E-3008 affichent une allure fortement remaniée par rapport à la précédente génération. On retrouve cependant certains éléments de style comme les trois griffes des feux de jours. La face avant se dote d’une calandre intégrée et des projecteurs à LED très fins, à l’arrière la poupe est verticale et la partie carrosserie qui recouvre le hayon est massive au point que la lunette arrière fait office de meurtrière. La raison principale à tout cela, c’est que le profil ressemble à celui d’un SUV coupé avec une vitre de hayon très inclinée. Le gabarit de la bête est en augmentation et la longueur atteint désormais les 4,54 m. À bord on a droit à une ambiance « cockpit » avec une planche de bord qui semble faire corps avec les contreportes. Face au conducteur, on trouve une double dalle numérique de 53 cm de diagonale (en finition GT) pour l’instrumentation et l’infodivertissement. L’équipement déjà important en entrée de gamme est très complet dans cette finition GT avec de série : projecteurs Pixel LED, navigation connectée, recharge par induction des smartphones, régulateur de vitesse adaptatif, hayon motorisé avec fonction mains libres, volant chauffant et jantes alliage (spécifiques pour l’électrique) 20 pouces… Malheureusement l’ergonomie est perfectible et si les assemblages sont mieux réalisés, les matériaux peuvent être de qualité moyenne (console centrale par exemple). Si l’empattement progresse de 9 cm, cela ne se constate pas trop dans l’habitacle où l’espace pour les jambes est moins important (- 2 cm) et c’est aussi vrai pour la garde au toit, tandis qu’en largeur aux coudes on constate un léger mieux. Pour le volume de coffre, c’est le statu quo avec 520 litres, ce qui est bien, mais le plancher n’est pas plat lorsque la banquette est rabattue.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Et sur la route, est-ce que le Peugeot E-3008 se comporte bien ? Avec ses presque 2,2 tonnes en ordre de marche, le Peugeot E-3008 n’est pas une danseuse étoile et cela se ressent au volant. En ville, cela ne perturbe pas trop, sur l’autoroute non plus, mais dès que le rythme est plus soutenu sur la route on sent le poids qui fait élargir la trajectoire dans les virages, les suspensions sont aussi trop souples et pompent sur les bosses, voire talonnent sur de grosses compressions. Le Peugeot E-3008 est sécurisant, mais pas fait pour la conduite sportive. Le freinage montre également ses limites lorsqu’on le sollicite trop et la sensation à la pédale n’est pas bonne, car celle-ci est trop spongieuse. La direction est quant à elle parfaite, précise et informative, mais on reste sur sa faim lorsque l’on compare les qualités routières de ce nouvel opus par rapport à l’ancien. Au chapitre performances, avec un 170 km/h (vitesse limitée électroniquement) en pointe et 8,8 secondes pour le 0 à 100 km/h, cela reste correct sans plus. Reste l’autonomie, si celle-ci est annoncée à 525 km en parcours mixte (WLTP) cela sera difficile à atteindre, car la moindre cote fait grimper la consommation à 28 kWh de moyenne, tandis qu’en descente elle s’établit à 19,9 kWh. Difficile dans ses conditions d’atteindre les 525 km, il faut plutôt tabler sur 360 km, et encore en utilisant toute la capacité de la batterie, ce qui n’est pas recommandé pour conserver celle-ci le plus longtemps possible. Le Peugeot E-3008 peut aussi récupérer de l’énergie sur trois niveaux grâce à des palettes au volant, le moins fort simulant un frein moteur thermique, le niveau le plus élevé, freine fort, mais ce n’est pas un système « one pedal ». Pour recharger, le chargeur embarqué de série est un 11 kW (22 kW en option) et la charge rapide affiche jusqu’à 160 kW de puissance, soit une recharge de 20 à 80 % en trente minutes. Avec une autonomie qui peut descendre rapidement sur l’autoroute, les gros rouleurs passeront beaucoup de temps à recharger sur de longs parcours. Et c’est pour leur éviter cela que nous leur proposons trois alternatives « thermiques » au Peugeot E-3008.

 

Le « contre-courant » à motorisation micro-hybride de la même famille que le Peugeot E-3008 : Peugeot 3008 Hybrid 136 ch e-DCS6, finition GT à 42 990 € (Malus CO2 : 190 €).

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Dans la famille du nouveau Peugeot 3008, je choisis la version à motorisation thermique essence de 136 ch associée à un système micro-hybride 48 V. Il n'y a pas de différence notable en matière de design avec la Peugeot E-3008, c’est le même hormis la disparition du sigle « E » stylisé sur le hayon. Que l’on aime ou pas le nouveau style du Peugeot 3008 très agressif, on ne peut rester indifférent devant ces lignes expressives, ce profil dynamique… À bord, on peut s’extasier sur le double écran de la version haut de gamme et sur le fait que repositionné, il n’est plus caché par la jante du volant, un bon point. Autre bon point, le système multimédia est devenu plus intuitif, on apprécie moins le petit levier de vitesse qui a migré au centre de la planche de bord et l’on n’apprécie pas les bruits creux que font certains plastiques lorsqu’on les touche. L’habitabilité moyenne aux places arrière n’est pas ce qui se fait de mieux dans la catégorie, tandis que la capacité de chargement (520 litres) est correcte. En finition GT, la dotation du Peugeot 3008 est identique à celle du E-3008 (hormis équipements électriques spécifiques) et possède tout ce dont vous avez besoin y compris le superflu.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Sous le capot de ce modèle, on trouve un 1.2 PureTech de 136 ch qui a été revu en profondeur. il n'y a plus de courroie de distribution (et c’est tant mieux), mais une chaîne, s’ajoute à cela un turbo à géométrie variable et un cycle Miller pour optimiser la combustion. Ce bloc est associé à une boîte à double embrayage à six rapports qui intègre un moteur électrique 48 V d’une vingtaine de chevaux et 55 Nm de couple, ce qui permet de venir aider le moteur thermique dans les phases les plus énergivores (démarrage, accélération…). Ce système comprend aussi une petite batterie de 0,9 kWh (valeur brute), cette batterie se régénère par le frein moteur au lever de pied de l’accélérateur. Ce système est très efficace en ville où l’électrique est fortement sollicité, un peu moins sur la route et pas du tout sur l’autoroute. Néanmoins on peut espérer moins de sept litres aux 100 km en ville et sur la route et un peu plus de sept litres sur autoroute, ce qui compte tenu du poids de l’auto (1 600 kg) est correct. Sur le combiné d’instrumentation lorsque l’on arrête le moteur on peut observer le pourcentage de l’utilisation du moteur électrique par rapport au parcours que l’on vient de faire. Les seuls bémols viennent du comportement routier de l’auto qui n’est plus aussi dynamique que par le passé et du niveau sonore du moteur qui se montre un peu bruyant dans l’effort. Enfin en ce qui concerne le prix, le tarif de ce modèle est équivalent à celui du Peugeot E-3008, il faudra ajouter le malus de 190 € en raison des rejets de CO2 et un petit malus au poids.

 

Le « contre-courant » avec une motorisation hybride autorechargeable et une forte personnalité : Kia Sportage Hybride 1.6 T-GDi 160 ch BVA6 4x2 215ch, finition GT-Line Premium à 47 340 € (Malus CO2 : 750 €).

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Le Kia Sportage est le modèle le plus vendu de la marque coréenne dans l’Hexagone. L’an dernier, il s’est classé à la trente-cinquième position des ventes de véhicules neufs et espère faire aussi bien en 2024. Parmi les SUV compacts qui dominent le secteur, il apporte une touche d’exotisme et affiche une forte personnalité avec une face avant spectaculaire et une poupe qui ne l’est pas moins. Multipliant les motorisations, ce modèle est disponible avec des motorisations essence et diesel micro-hybrides, de l’hybride rechargeable et de l’hybride simple comme le Kia Sportage Hybride de 215 ch que nous vous proposons face au Peugeot E-3008. Très bien équipé dans cette finition GT-Line Premium, le Kia Sportage est également disponible en finition GT-Line pratiquement aussi bien équipée qui permet de faire baisser le tarif de plus de 4 000 € sans se sentir démuni pour autant. Il faut juste se passer de l’assistance au stationnement à distance, du moniteur avec vision panoramique 360°, de sièges avant ventilés, du système audio premium Harman Kardon avec caisson de basse et amplificateur externe, du toit vitré panoramique (option sur GT-Line à 900 €) À moins que tous ces équipements ne vous soient nécessaires, optez pour la GT Line qui se dote d’un grand nombre d’aides à la conduite, de la dalle numérique regroupant les écrans d’instrumentation (12,3 pouces) et d’infodivertissement (12.3 pouces), de jantes 18 pouces, de rails de toit, etc. Vous aurez alors droit à une planche de bord très moderne avec double dalle numérique avec le système « Multi mode touch display » sous l’écran d’infodivertissement. Il est entièrement paramétrable et gère climatisation et navigation en changeant d’affichage et de fonctions. Très ergonomique, ce système permet de limiter le nombre de commandes physiques. De plus, le Kia Sportage se montre très accueillant pour les passagers de la banquette qui se sentiront à l’aise et qui pourront glisser leurs bagages dans un coffre dont la capacité est de 487 litres.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

La motorisation hybride du Kia Sportage affiche depuis peu 215 ch au lieu de 230 ch sans que les performances ne baissent de trop (8s4 au lieu de 8 secondes au 0 à 100 km/h, 183 km/h au lieu de 193 km/h en pointe). Sur la route, ce moteur distille une poussée linéaire. Le Kia Sportage est surtout typé confort avec un système hybride tout à fait transparent pour le conducteur. Le démarrage se fait en électrique avant que le moteur thermique n’entre en jeu, puis le système hybride s’associe au moteur thermique dans les phases d’accélérations. Le comportement routier de ce modèle est sûr et il affiche un compromis intéressant entre confort et dynamisme, mais on aurait préféré un peu plus de « rythme ». Quant à la consommation, elle se révèle un peu décevante avec 7,5 l/100 km, mais le modèle est lourd. Heureusement, en cette année 2024 les modèles hybrides ont droit à une réduction de 100 kg sur leur masse en ordre de marche (rappelons que c’est à partir de 1 600 kg que les véhicules thermiques sont pénalisés), le Kia Sportage échappe à cette taxe, il faudra cependant régler à l’achat le malus CO2 qui est de 750 €.

 

Le « contre-courant » à motorisation hybride autorechargeable avec boîte à crabots : Renault Austral E-Tech Full Hybrid 200 ch, finition Iconic Esprit Alpine à 45 800 €.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Le Renault Austral a remplacé avec bonheur le Renault Kadjar. Avec bonheur, parce que le modèle affiche une allure haut de gamme inspirée de celle de la Renault Mégane E-Tech électrique, que son intérieur est en gros progrès en ce qui concerne la présentation et la qualité des assemblages, qu’il adopte de nouvelles motorisations dont cette « Full Hybrid » de 200 ch qui se montre très efficiente. Reconnaissable comme un véhicule de chez Renault avec ses projecteurs en forme de « C » et de nouveaux feux en forme de crochets à l’arrière, le Renault Austral affiche un beau profil avec des plis vifs au niveau des ailes et des bas de caisse. À bord, c’est le jour et la nuit avec le Renault Kadjar, es assemblages sont précis et la qualité des matériaux fait plaisir à voir. Le Renault Austral joue à fond la carte de la modernité en proposant un double écran numérique (instrumentation et multimédia) en forme de « L » couché. Le système OpenR est orienté vers le conducteur et les progrès sont flagrants en ce qui concerne la fluidité des menus et l’ergonomie des commandes. De plus, l’interface d’infodivertissement a été développée avec Google et contient de nombreuses applications. Pour ce qui concerne l’espace à bord, il y a de la place à l’arrière pour que deux adultes y soient confortablement installés, l’espace aux jambes est bon et la banquette coulissante de série (sur 16 cm) avec dossiers inclinables permet de faire varier le volume de coffre, qui en fonction de la position de la banquette affiche une capacité de 430 à 555 litres.

À contre-courant : les alternatives thermiques au SUV Peugeot E-3008

Sous le capot du Renault Austral on trouve une motorisation « full hybrid » constituée d’un nouveau bloc trois cylindres de 130 ch associé à deux moteurs électriques. Le premier servant de générateur, il remplit la batterie lors des décélérations et des freinages (le système de régénération est personnalisable grâce à des palettes), dommage que le toucher de pédale de frein soit si peu naturel. Une boîte à crabots se charge de passer les 200 ch de puissance aux roues, elle dispose de 7 rapports (contrairement aux cinq rapports des Clio et Captur hybrides), cinq sont pour le moteur thermique, les deux autres pour la machinerie électrique. Cette motorisation se montre bien adaptée au Renault Austral, elle est agréable à utiliser et fait preuve de souplesse à bas régime, mais manque un peu de tonus lorsqu’on la sollicite. Le système hybride fait aussi preuve de transparence lors de son activation ou sa désactivation et ne grève en rien le confort du véhicule qui est correct. Si la direction est bien calibrée et précise, que les mouvements de caisse sont bien contrôlés, le Renault Austral n’est pas un SUV dynamique et est plus typé confort. On se console avec une consommation maîtrisée de 6,9 l/100 km sur un parcours accidenté, en ville on pourra aisément descendre en dessous des 6 l/100 km. Avec la finition « Iconic Esprit Alpine » la plus haut de gamme on a droit à un équipement pléthorique dont de beaux sièges, recouverts de tissu carbone/Alcantara et surpiqûres bleues, qui assurent un maintien très correct et renforcent le confort. Dans la dotation de cette finition on trouve également : régulateur de vitesse adaptatif intelligent avec centrage dans la voie, reconnaissance des panneaux de signalisation, siège passager électrique avec réglage lombaire, jantes alliage 20 pouces, appuie-tête spécifiques avec broderie Alpine, les inserts de porte et de tableau de bord en Alcantara avec surpiqûres bleues, pédalier en aluminium, etc.

Bilan

Jusqu’en 2035, on a encore le temps de se faire plaisir au volant d’un véhicule neuf à moteur thermique. Pourquoi ne pas en profiter ? D’autant plus si vous êtes un gros rouleur et que vous ne voulez pas passer votre temps à recharger votre véhicule électrique. Malgré ses qualités, le Peugeot E-3008 n’est pas forcément le meilleur compagnon de voyage et les trois alternatives « thermiques » que sont les Peugeot 3008 micro-hybride, Kia Sportage hybride et Renault Austral hybride peuvent vous satisfaire. Alors, lequel allez-vous choisir ?

 

 

 

 

 

 

 

Peugeot E-3008 210 ch, batterie 73 kWh, finition GT à 46 990 € (Bonus : - 4 000 €)

Les avantages

  • La présentation intérieure très moderne
  • Le bonus gouvernemental de 4 000 €
  • La belle offre d’équipements de série
  • L’insonorisation remarquable
  • La garantie 8 ans ou 160 000 km pour l’ensemble du groupe motopropulseur (batterie comprise)

Les inconvénients

  • La qualité de certains matériaux
  • Le comportement dynamique mis à mal par le poids de l’auto
  • La consommation qui semble élevée
  • L’habitabilité moyenne pour les jambes à l’arrière
  • L’ergonomie de certaines commandes

Peugeot 3008 Hybrid 136 ch e-DCS6, finition GT à 42 990 € (Malus CO2 : 190 €).

Les avantages

  • La direction précise et informative
  • Les compteurs qui ne sont plus cachés par la jante du volant
  • Le système multimédia qui progresse
  • La présentation de l’habitacle
  • Le compromis sensations/confort
  • Le système micro-hybride en ville
  • Le moteur PureTech revu en profondeur

Les inconvénients

  • L’insonorisation mécanique un peu faible lors des montées en régime
  • Le comportement routier moins dynamique que par le passé
  • Le pas en arrière de certains plastiques
  • L’habitabilité un peu juste

Kia Sportage 1.6 T-GDi BVA6 4x2 215ch, finition GT-Line Premium à 47 340 € (Malus CO2 : 750 €).

Les avantages

  • La ligne expressive du modèle
  • La présentation moderne et technologique
  • L’habitabilité aux places arrière
  • Le confort
  • La dotation en équipement de série
  • La garantie 7 ans ou 150 000 km

Les inconvénients

  • Le comportement un peu pataud
  • La consommation un peu élevée
  • Les graphismes simples du multimédia 

Renault Austral E-Tech Full Hybrid 200 ch, finition Iconic Esprit Alpine à 45 800 €

Les avantages

  • La présentation moderne et la qualité perçue en hausse
  • Le système hybride dont l’utilisation est transparente
  • Le comportement homogène
  • Le confort de roulement
  • La consommation intéressante
  • La banquette coulissante

Les inconvénients

  • L’esprit Alpine pour la finition, mais pas pour les performances
  • La sensation à la pédale de frein qui est peu naturelle

En savoir plus sur : Peugeot E-3008 (3e Generation)

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