Les tarifs à la pompe augmentent depuis plusieurs semaines, suivant la hausse des prix du pétrole. Le gazole n'avait pas été aussi cher depuis octobre 2014. Malheureusement, cela ne va pas s'arranger.
Votre portefeuille ne va pas aimer le passage à la nouvelle année. La loi de finances 2018 apporte son lot de taxes inédites ou revues à la hausse. À cela s'ajoutent des frais courants en augmentation, que ce soit pour le carburant, l'assurance ou encore les pneumatiques. Caradisiac fait le point sur les mauvaises nouvelles. Âmes sensibles s'abstenir.
Audi propose à son tour une prime en cas de mise à la casse d'un vieux diesel. Cinq modèles de la gamme sont concernés, avec des offres allant de 2 500 à 5 000 €.
Sur le site internet Vente Privée, spécialisé dans le déstockage, il est possible de télécharger un coupon qui donne droit à une remise de 7 500 € sur l'Outlander diesel dans les concessions Mitsubishi.
Assurer son auto sera encore un peu plus cher l'année prochaine, avec une hausse moyenne des cotisations comprise entre 3 et 4 %. La faute notamment à des réparations de plus en plus onéreuses.
Skoda et Seat se montrent très généreux en cas de reprise d'un vieux diesel, même si l'aide ne concerne pas les nouveaux SUV. Mais il y a moyen de faire de très bonnes affaires, en particulier chez l'espagnol.
Les députés ont voté l'article du projet de budget pour 2018 qui prévoit une hausse de la TICPE de 2,6 centimes par litre de gazole pendant quatre ans.
Le constructeur lance en France une "Eco-prime" pour ceux qui ont un vieux véhicule diesel à faire reprendre. Et Volkswagen se montre particulièrement généreux.
La vignette fiscale était devenue le vague souvenir d’un temps que l’on pensait révolu. Revenue dans le langage et le quotidien, elle avait pris forme d’un discriminant entre véhicules plus ou moins polluants. Mais voilà que sa vocation fiscale première revient au goût du jour. Le projet de loi de finance déposé et adopté en Commission annonce ainsi une surtaxe à l’immatriculation pour les voitures de 36 CV et plus en 2018. Une contribution qui touchera aussi les véhicules d’occasion.
Exclusif. Les contraventions pour non désignation d'un conducteur (NDC) envoyées systématiquement aux entreprises, quand leurs patrons paient spontanément les amendes - soit sans désigner un tiers - après que des véhicules de leur flotte se sont fait flasher, pourraient représenter une sacrée manne. Si l'on s'en tient aux statistiques officielles de ces dernières années, les contraventions qui impliquent des véhicules de société pour lesquels il n'y a pas de retrait de point(s) représentent environ 12 % de l'ensemble des PV radars, soit un peu moins de 2 millions en 2016… Or, les amendes pour NDC s'élèvent pour rappel à 450 euros au minimum. C'est donc plus de 866 millions d'euros qu'elles seraient susceptibles de rapporter à l'État !
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