Alors que nombre de géants de l'automobile sont dans la tourmente, des marques plus modestes se portent comme un charme. Un pied de nez à la bonne vieille tendance économique qui veut que pour ne pas disparaître il faut se regrouper et grossir ?
L'INFO DU JOUR. Stellantis réintègre les rangs de l'ACEA, le lobby des constructeurs automobiles basé à Bruxelles. Le retour du deuxième constructeur européen donne plus de poids à l'organisme qui milite pour une position plus réaliste vis-à-vis de l'électrification.
Ni Carlos Tavares, ni ses prédécesseurs à l’époque où Stellantis n’existait pas encore n’ont jamais réussi à positionner Alfa Romeo et Maserati au niveau de leurs concurrents respectifs. Ces deux marques iconiques se cherchent toujours après dix ans de stratégies ratées.
Alors que les marques américaines de Stellantis veulent reprendre du poil de la bête aux Etats-Unis, Dodge pourrait profiter d’un tout nouveau V8 pour renouer avec sa clientèle traditionnelle. Là-bas, les projets vers le 100% électrique ont probablement vécu.
Volkswagen veut dépenser moins d’argent et réduire la durée de développement de ses nouveaux modèles. Au risque, comme Stellantis, de s’exposer à certains problèmes de qualité ?
Le départ du boss de la galaxie de 14 marques (voir 15 avec Leapmotor) est désormais acté. Mais quel sera le prochain épisode de la saga du 4e constructeur mondial ? Qui en sera le capitaine avec quelles ambitions, et quels éventuels renoncements ? Tentatives de réponses.
Viré de la direction du groupe Stellantis, Carlos Tavares va partir avec « des dizaines de millions d’euros » en indemnité de licenciement. L’ancien homme fort de l’industrie automobile va pouvoir profiter de son temps libre…
Stellantis annonce la démission "avec effet immédiat" de son directeur général, dont la chute est précipitée par une année 2024 difficile.
L’INFO DU JOUR – Alors que la perspective d’avoir de l’hydrogène « vert » pas cher s’éloigne tout comme les ambitions de la filière pour 2030, l’idée d’avoir bientôt des voitures grand public capables de concurrencer les autos électriques semble improbable. En revanche, il y a peut-être de l’espoir pour les modèles d’exception.
Cette notion de durée de développement d’une nouvelle voiture prend une place de plus en plus importante dans la stratégie des constructeurs. Volkswagen ne compte pas se laisser distancer en réduisant cette phase à 30 mois.
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique