Pionnière du low-cost automobile, la marque Dacia préfère parler de « design to cost » pour définir sa stratégie qui consiste à partir du coût pour établir le design et la solution technique de ses véhicules. Faire mieux avec moins, un credo que Dacia continue de mettre en œuvre.
Engluée dans son manque de rentabilité, la marque dieppoise va petit à petit n'être plus que l'ombre de son ombre. Autopsie d'un constructeur emblématique qui va disparaître sans le dire, et se fondre dans le paysage du rebadgage et des versions sportives d'autres modèles. Une histoire qui semble bégayer chez Alpine.
En signant un accord avec la société américaine Quallcom, le groupe va pouvoir utiliser la technologie Snapdragon dans les autos de ses 14 marques. Au programme : une rapidité d’exécution de ses systèmes d’infotainement multiplié par deux et un accès aux semi-conducteurs amélioré. De son côté, avec cet accord, le groupe US augmente son emprise désormais phénoménale sur le monde automobile.
Le groupe Stellantis (PSA et Fiat) annonce la suspension des activités dans son usine russe de Kalouga, qui assemble des fourgons.
En privilégiant les modèles haut de gamme générant de plus confortables marges, les constructeurs avancent trop lentement sur le dossier de la voiture électrique populaire. Un vrai danger.
Le record de Carlos Ghosn est battu : au titre de l'exercice 2021, le directeur général de Stellantis devrait toucher 19,1 millions de rémunération, auxquels s'ajoutent plus de 47 millions qu'il pourra percevoir plus tard. Ce total de 66 millions fait polémique depuis 24 heures, et pose un problème d'ordre politique et social.
Suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes et les sanctions internationales qui s’ensuivirent, c’est toute une ville qui retient son souffle et se sait en sursis. Largement dépendante de l’usine automobile d’AvtoVAZ, appartenant au groupe Renault, et qui produit les Lada, Renault et Dacia pour le marché local, la ville russe de Togliatti est au bord du chaos.
Après avoir abandonné la fabrication de sa berline Malibu, au profit de ses SUV, Chevrolet fait volte-face et relance les chaînes de sa bonne vieille tricorps. Car ses clients, plutôt que d'acheter les crossovers de la marque, se sont tournés vers les constructeurs japonais et coréens qui, quant à eux, continuent de produire des berlines. Cette histoire venue d'Amérique pourrait-elle advenir chez nous ?
La marque américaine a livré en France les premiers véhicules assemblés dans son usine européenne, implantée à Berlin.
Alfa Romeo promet une nouveauté par an. Il vise 200 000 ventes annuelles… un objectif bien modeste !
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