Être un grand constructeur automobile, c'est s'impliquer dans tous les marchés de la planète. Dans une conjoncture économique difficile conjuguée à des approches politiques qui regardent d'un mauvais œil la voiture, il faut savoir garder le cap et sentir le sens du vent. Mais, parfois, il faut aussi naviguer à vue. Une tâche compliquée qui est devenue encore un peu plus ardue avec les promesses non tenues des marchés jusque là à fort potentiel de croissance. Exemple avec deux pays, la Russie et le Vénézuela, qui font boire la tasse à deux marques, Kia et Ford.