La crise économique a eu des effets chez Aston Martin, qui annonce une réduction de la production et la suppression de 500 postes.
Le patron de Mitsubishi, Osamu Masuko, laisse planer un drôle de doute sur la présence même de la marque en Europe, qu'il juge incertaine. En plein climat de restructuration au sein de l'Alliance, Mitsubishi pourrait donc se cantonner sur d'autres marchés.
Midi Pile
Les acheteurs automobiles vont-ils privilégier l'occasion récente au véhicule neuf dans les mois à venir ? Il est trop tôt pour le dire. Mais les premiers signes du déconfinement sont clairs : le marché du VO perd nettement moins que celui du neuf.
Les chiffres de ventes de mai sont forcément encore très impactés par le confinement, qui a pris fin le 11 mai. Mais une reprise de l'activité a été constatée dans les concessions.
Crise sanitaire, c'est une certitude. Crise financière, cela reste à voir, le pire est peut-être devant nous. Mais dans le doute, comment vont se comporter les acheteurs de voitures d'occasion ? Vont-ils se ruer sur les modèles plus raisonnables ? Moins chers ? Électriques ? Voici notre analyse.
Si l'affichage en ligne des véhicules d'occasion du réseau constructeur n'est pas nouveau, Audi va plus loin en donnant la possibilité de réserver, toujours en ligne, un véhicule de la marque, histoire de désengorger les stocks, alors que les usines ont redémarré.
Alors que la direction du Groupe Renault laissait ce matin planer le doute sur l'avenir de l'usine Alpine de Dieppe, un député de Seine-Maritime annonce par communiqué que l'usine ne va pas fermer et que sa production est suffisante, même si son avenir sera plus longuement discuté à l'automne.
La collaboration entre Mercedes et l'alliance Renault-Nissan avait été à l'initiative de Carlos Ghosn et ses équipes. Avec l'éviction du patron de l'alliance, les échanges de bons procédés entre Renault et Mercedes auraient pu disparaître. Mais Jean-Dominique Senard, le patron de Renault, annonce de "très bonnes nouvelles" à venir.
La double peine pour McLaren oblige la marque anglaise à supprimer 1200 postes. La faute à la crise économique, et aux coûts élevés de développement des prochaines monoplaces en Formule 1.
Un nouveau sondage confirme l'intérêt de nombreux Français pour l'achat d'une nouvelle voiture. De bon augure pour le secteur, à quelques heures de la présentation du grand plan de relance par Emmanuel Macron.
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