Où l’on apprend que Carlos Ghosn n’a pas démissionné de Renault, qu’il est disposé à passer devant la justice française, et qu’il réclame au Losange son indemnité de départ à la retraite pour un montant de 249 999, 99 €…
Carlos Ghosn a tenu ce mercredi sa grande conférence de presse. Un moment très attendu dans la mesure où ses avocats nous annonçaient un homme à la parole libérée, qui s’attacherait à produire des preuves de son innocence. Et on n'a pas été déçu.
Le groupe Volkswagen vient d'officialiser le départ du patron de Seat, Luca de Meo. Cet italien est pressenti pour devenir directeur général de Renault.
Cavale, malle percée, barbouzes et jet privé, pour finir par un réveillon entre amis à Beyrouth: qui aurait pu imaginer que l'affaire Carlos Ghosn prenne un tel tournant? Caradisiac revient sur l'incroyable scénario de l'évasion de l'industriel, qui donne ce mercredi sa grande conférence de presse.
Le groupe Renault a un nouveau directeur de l’ingénierie, Gilles Le Borgne. Ce dernier a passé plus de trente ans chez PSA.
L’arrivée de l’Italien à la tête du Losange est imminente. Sur le papier, celui qui a, en partie, sauvé Fiat et Seat paraît le mieux désigné pour tenter de régler les problèmes de la première marque française. Mais le défi à relever est colossal et la suite de sa carrière à la tête de l’Alliance pourrait dépendre de sa réussite.
Après deux ans à la tête de l'ACEA (Association des constructeurs européens d'automobiles), Carlos Tavares (PSA) cède sa place. Mais pas à n'importe qui : à Mike Manley, le patron de Fiat... qui va fusionner avec PSA.
C'est l'instigateur du low-cost et de l'access au sein du groupe Renault. Ou plutôt "c'était", puisque Gérard Detourbet nous a quittés à l'âge de 73 ans.
Cela fait déjà un an que Carlos Ghosn a été arrêté au Japon, pays où il est retenu depuis et où il sera jugé au printemps 2020, avec quatre inculpations, notamment pour dissimulation de revenus et abus de confiance aggravé.
Dans une interview donnée à l'Est Républicain, Carlos Tavares critique la future réglementation européenne, décidée "après la tricherie d'un constructeur allemand". Sans le nommer, le PDG de PSA tacle aussi Fiat, avec qui il compte pourtant fusionner !
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