Tous les candidats à la mairie de Paris étaient hier soir sur LCI pour débattre. Pas de grandes surprises concernant les programmes, mais un scoop : Anne Hidalgo a annoncé avoir pris le métro pour se rendre sur le plateau de télévision et a ajouté prendre régulièrement les transports en commun.
Trois clans se sont dessinés lors du premier débat télévisé organisé par LCI entre les sept principaux candidats de Paris pour les municipales des 15 et 22 mars prochains. Sur les questions de mobilité, il y a d'un côté Anne Hidalgo (PS), avec David Belliard (EELV) et Danielle Simonnet (LFI), sur une ligne disons radicale, de l'autre Agnès Buzyn (LREM), Rachida Dati (LR) et Cédric Villani (sans étiquette) qui appellent, eux aussi, à la réduction de la voiture, mais de manière concertée. Et à l'opposé de tous ces candidats, il y a Serge Federbusch, soutenu par le Rassemblement national.
Alors que la polémique fait rage en France entre le gouvernement et les préfets suite à la réduction de la vitesse à 80 km/h sur nos routes, le Danemark, lui, fait tout le contraire en augmentant la vitesse.
Le grand débat sur la mobilité concocté à Paris ce mercredi matin n'a pas tenu toutes ses promesses, puisque les trois principaux candidats aux élections municipales du 15 mars - la maire sortante Anne Hidalgo, la candidate LR Rachida Dati et le LREM Benjamin Griveaux - ont préféré y envoyer leurs seconds couteaux. De quoi permettre à Cédric Villani de prendre un peu la lumière…
Depuis plusieurs semaines en Allemagne, il est de plus en plus question de la fin de la vitesse illimitée sur les autoroutes. Certains élus écologistes viennent de faire une proposition originale : conserver cette absence de limitation uniquement pour les voitures électriques.
Le débat autour de la limitation de vitesse sur les autoroutes allemandes sera à nouveau au centre des discussions la semaine prochaine dans le Conseil fédéral. De plus en plus, en Allemagne, ce sujet est mis au centre de la table, et pas uniquement pour des questions de sécurité routière.
Alors que l'activité des voitures radar était attendue en hausse, elle ne fait que baisser depuis quatre ans. Selon nos calculs, en 2019 et 2018, elles ont ainsi verbalisé deux fois moins qu'en 2015. De quoi remettre en question la décision de les retirer des gendarmes et policiers pour les confier au privé ? Pas du tout ! Il est urgent d'attendre, à en croire le ministre de l'Intérieur. Le premier bilan officiel ne sera établi qu'en fin d'année. Au mieux ! À moins que la Cour des Comptes, qui selon nos informations a commencé un travail d'évaluation de la politique de la Sécurité routière n'en fasse mention d'ici-là dans ses conclusions.
C'est ce soir à minuit que le Royaume-Uni va sortir de l'Union européenne. Une décision qui va avoir de nombreuses conséquences économiques, notamment sur l'industrie automobile.
Tandis que les tarifs aux péages sont réévalués ce samedi, comme chaque année au 1er février, le Parlement s'apprête une énième fois à étudier la question de la gestion des autoroutes françaises par de grands groupes privés. C'est le Sénat qui s'y colle cette fois avec une commission d'enquête dont les 21 membres ont été désignés mercredi. Leurs travaux devraient démarrer d'ici une à deux semaines.
C'est aujourd'hui en Charente et plus précisément à Nersac qu'Emmanuel Macron va assister au lancement d'une nouvelle chaîne de productions de batteries, premier jalon du Géant européen qui doit permettre à l'Union europénne d'être moins dépendante de l'Asie.
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