Selon une étude, un quart des automobilistes se disent prêts à se passer d'assurance auto. C'est pourtant la pire des choses à faire.
Avec la multiplication des ZFE (Zone à faibles émissions) dans plusieurs grandes agglomérations en France, la vignette Crit'Air est devenue indispensable pour bon nombre d'automobiles. Et malheureusement, comme on pouvait s'en douter, cela attire l'attention de certains escrocs.
Après le geste de la direction de Renault envers ses salariés, le groupe Stellantis va également verser à son personnel des primes exceptionnelles pouvant aller jusqu’à 1 400 €.
La direction de Renault se disait ouverte à un geste en faveur de ses salariés, et elle a tenu parole. Chaque salarié de Renault travaillant en France recevra près de 1 000 € d’aides.
Il paraît que l’automobile n’intéresse plus les jeunes. Malgré ses tarifs élevés, le permis a pourtant attiré plus de 1,1 million de nouveaux inscrits l’an dernier.
À l’occasion d’un « groupe paritaire de réflexion » entre les organisations syndicales et la direction de Renault, la question du pouvoir d’achat des salariés sera au cœur des discussions. Un point sur lequel le constructeur français semble prêt à faire un effort.
L’inflation délirante du prix des voitures neuves ruisselle désormais sur les tarifs du marché de l’occasion, pris eux aussi de folie. L’automobile est bel et bien en train de devenir un produit de luxe.
Dans le cadre du projet de loi de finances rectificatives, les députés ont adopté ce lundi soir un amendement créant une enveloppe de 15 millions € pour soutenir les stations-service indépendantes. Des structures majoritairement situées dans des zones rurales et péri rurales.
Elles sont inexistantes dans les baquets et très rares dans le paddock. Pour tenter de féminiser la filière, Claire Mesnier, la directrice des ressources humaines d'Alpine tente le pari de la formation de jeunes pilotes au féminin et des recrutements au-delà du seul milieu ultra-fermé et masculin de la Formule 1.
Avec les confinements chinois et les difficultés d'approvisionnement, le constructeur américain connaît des turbulences. Son patron Elon Musk avoue que ses deux nouvelles usines, à Austin au Texas et à Berlin en Allemagne, lui coûtent des milliards et il a décidé de licencier 3 500 salariés. Une inquiétude réelle ou un signal envoyé aux marchés ?
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique