Deuxième épisode de notre série « périph' », celui dédié aux habitués du grand boulevard parisien. De l'usager qui se rend au travail à la famille qui s'y égare sur le trajet des vacances en passant par ceux qui s'y sont attachés, se sont liés au dit périph', il n'y a pas une, mais des pratiques du périphérique.
Les habitudes ont la dent dure. Ainsi, au grand dam des écologistes, les Français continuent de plébisciter la voiture pour aller travailler. C’est ce qui ressort d’une étude de l’INSEE publiée aujourd’hui basée sur des chiffres de
Aujourd'hui a eu lieu la 5eme réunion de négociation entre syndicats et direction de Renault. Au programme des discussions, le temps de travail des employés que la direction souhaite porter effectivement à 35h sur tous les sites de la marque en France.
Certains font tout pour l'éviter, d'autres ont appris à vivre avec, des légendes y sont nées, quelques-unes en ont fait un métier. Le périphérique parisien est un boulevard d'exception. Avec 1,3 million de véhicules qui y transitent chaque jour, c'est le premier axe routier de France. Caradisiac s'est installé une semaine aux abords du « périph » pour vous le faire découvrir de l'intérieur et faire le point sur la pollution qu'il engendre et qui porte même atteinte à la santé des automobilistes qui l'empruntent chaque jour.
Bon, tout va bien la fin du monde n’est pas encore arrivée.
Les réunions sur le thème de la compétitivité entre direction et syndicats se poursuivent chez Renault. La troisième a récemment eu lieu et plus on avance, plus les salariés se mobilisent contre ces négociations qu'ils ressentent comme des attaques de la direction sur leurs rémunérations.
La troisième réunion entre la direction de Renault et les partenaires sociaux entrant dans le cadre des négociations sur la compétitivité s'est déroulée hier. Au menu des discussions, le désir toujours plus grand de Renault d'augmenter la flexibilité et la mobilité inter-sites de ses employés.
Il n’y a pas que le marché européen de l’automobile qui souffre actuellement. Celui du poids-lourd tourne également au ralenti. Et, fatalement, cette situation aura eu des conséquences sur le constructeur français Renault Trucks, détenu par la suédois Volvo AB.
Faurecia détenu à 57,4% par PSA Peugeot Citroën a annoncé aujourd'hui son intention de supprimer 3000 emplois en 2 ans en Europe occidentale afin de réduire ses coûts sur un marché en récession. Et bien sûr, pour délocaliser vers l'Est.
La première réunion avec les partenaires sociaux organisée à l'initiative de Renault sur le sujet controversé de la compétitivité s'est tenue hier et les premiers retours donne le sentiment que la négociation tend plus vers l'ultimatum. Renault donne jusque fin janvier aux syndicats pour conclure un accord.
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