La légende vivante du MotoGP Valentino Rossi célèbre son 40e anniversaire aujourd'hui 16 février. Toujours en activité, il ne continue pas sa route pour faire de la figuration. Il se lancera dans la saison 2019 en quête d’un dixième titre et de victoires, à condition que sa Yamaha lui en donne l’occasion. Car côté vélocité personnelle, le Doctor n’a jamais rien lâché.
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Cette saison 2019 des Grands Prix ne sera plus à chercher sur Eurosport comme les autres années. Cette fois, il faudra s’abonner pour jouir du spectacle mécanique à deux roues et un guidon. Le MotoGP rejoint ainsi le bouquet déjà composé de la Formule 1. On annonce une même intensité dans le suivi. Un dispositif présenté avec l’Arc de Triomphe en toile de fond et en présence des deux pilotes tricolores qui évolueront dans la catégorie reine.
Valentino Rossi va avoir 40 ans, et il est toujours au sommet du MotoGP. Mais Vale, ce n n’est pas que ça, ce qui serait déjà pas mal… L'image de Valentino Rossi et de son empire économique est peut-être sans précédent dans le monde de la moto. Les logos et les armoiries, le chiffre 46, la livrée, le bonheur excentrique, l’Académie VR46 et tout ce qui la concerne ont contribué à l’augmentation constante de son attrait, même lorsque les victoires n’étaient pas aussi nombreuses et spectaculaires qu’auparavant. Essayons d’y voir plus clair en insistant plus particulièrement sur cinq curiosités qui caractérisent ce nonuple Champion du Monde…
Le 16 février, Valentino Rossi soufflera ses 40 bougies sur un gâteau d’anniversaire qu’il dévorera seulement des yeux… Car il s’élancera une nouvelle cette année pour une campagne de MotoGP. Une longévité qui force le respect car elle s’accompagne d’une vélocité toujours affûtée. Un exploit qui a suscité l’attention de l’enseigne Brembo qui lui a écrit cette touchante lettre…
La FIM (Fédération Internationale de Motocyclisme) et la FIA (Fédération Internationale de l'Automobile) se donnent rendez-vous en Malaisie pour le premier double évènement auto/moto en Asie. Direction Sepang mi-décembre prochain.
Après près de 20 ans passés avec Yamaha, la seule équipe française en MotoGP tourne la page. Les hommes d’Hervé Poncharal intègrent un projet ambitieux dont le parallèle avec la Formule 1 n’est pas feint par le sponsor de cette aventure sous l’égide de KTM. Une alliance franco autrichienne qui va devoir d’abord se mettre en place avant de porter ses fruits. Mais les moyens, l’envie comme les compétences sont là. Et une visibilité sur trois ans est assurée.
Après Ducati, Honda, Yamaha et Suzuki, c’était au tour de KTM de présenter ses nouvelles couleurs pour la saison 2019 de MotoGP. Un événement vécu dans le fief de Mattighofen qui a ravi le nouveau venu Johann Zarco. Il faudra certes attendre avant de voir le Français jouer aux avant-postes comme il l’a fait ces deux dernières saisons avec la Yamaha. Mais le voilà pilote officiel, avec les moyens qui vont bien pour réussir.
Les apparences peuvent être trompeuses, mais l’illusion est délicieuse. Cette saison, en Grand Prix, on reparlera de MV Agusta. Du moins, une écurie portant le nom et deux motos avec ses couleurs sur leur carénage sera sur la grille de départ. Pour le reste, tout sera différent…
Le débutant cette année, et Français, Fabio Quartararo, a quitté satisfait un tracé de Sepang qui était ouvert aux premiers tests de l’année. Trois jours durant lesquels la catégorie reine des Grands Prix moto a repris ses marques après la trêve hivernale. Au guidon de la Yamaha du nouveau Team Petronas SRT, celui qui est aussi équipier de Franco Morbidelli a terminé seizième et juste devant son compatriote Johann Zarco son escapade malaisienne.
Ces dernières années, l’Espagne a su s’imposer comme la nation incontournable des Grands Prix moto. Son organisateur Dorna vient d’au-delà des Pyrénées, et ses jeunes pilotes ont su gravir les échelons pour se montrer constamment aux avant-postes et truster les titres. L’Italie, autrefois si puissante, a été bousculée. Mais elle réagit. Rossi a monté son académie qui commence à porter ses fruits. Ducati semble prêt à jouer la couronne. Et même sur le podium, l’Espagne doit laisser sa place…