A quelques heures de la fête du supermotard à Mettet (Belgique) rien de mieux qu'une petite vidéo sur l'ultime épreuve du championnat de France pour se mettre en jambe et être fin prêt pour retrouver la crème de la discipline.
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Hier, 5ème étape de ce rallye des Pharaons 2011, annoncée la plus difficile elle l'a été, 444 kms à parcourir sous un soleil de plomb. Ce 7 octobre c'était l'anniversaire de Marc Coma, à 35 ans le pilote Espagnol s'est dit qu'une victoire d'étape serait un cadeau sympa.
Oui, mais lequel ? A ce stade du calendrier, on ne sait encore, surtout que « Hopper » se concentre avant tout sur la finale d'un championnat britannique du Superbike qu'il peut remporter. Mais l'anglo-américain, une fois cette échéance toute proche passée, se décidera sur son avenir.
2012, c'est le retour des 1 000c sur la grille de départ, mais ce sera également l'arrivée des machines répondant aux dispositions du « Claiming Ruls Team ». CRT pour aussi « condamné à rester à la traine » au vu du niveau de performance aperçue jusque là avec la seule machine actuellement existante sur la piste, la Suter BMW du Marc VDS Racing.
Les Autrichiens ont conquis l'Allemagne et se verraient bien à présent goûter au Monde. KTM sera ainsi le blason particulièrement observé durant une saison 2012 de Superbike qui devrait voir la RC8R faire quelques apparition en invitée dans certaines manches du calendrier.
L'Australien Damian Cudlin continue d'évoluer sur son nuage. Sorti de nul part par un team Pramac qui l'a choisi au Motegi pour remplacer son titulaire Loris Capirossi, le spécialiste de l'Endurance et le connaisseur de Superbike se retrouvera une fois encore en Grand Prix sur la Desmosedici en Australie.
La 4ème étape du rallye des Pharaons faisait basculer la course dans sa seconde moitié. Une spéciale en boucle de 339 kilomètres de grands espaces désertiques. Vainqueur (largement) mercredi, Marc Coma ouvrait la piste et forcément, il s'est fait rejoindre.
Et surtout privé de moto ! Le déplacement au pays du soleil levant était synonyme d'économie chez Matteoni Racing, le boss, le mécanicien et les deux pilotes composaient l'équipe, un personnel restreint et des pièces visiblement encore moins nombreuses.
La faute à un petit doigt dont la fracture s'est révélée sur le tard après sa chute, finalement pas si anodine que ça, au dernier Grand Prix du Japon. La main restant obstinément enflée, le staff Ducati à envoyer son « Doctor » se faire passer des radios. Ces dernières ont mis à jour une fissure de l'os des deux premières phalanges.
Interview
Bonjour Bernard. Peux-tu nous dresser un peu ton portrait ? Donc je m'appelle Bernard Estripeau, je suis toulousain et je fais ce métier de concepteur de trials depuis à peu près vingt ans. J'ai derrière moi un peu plus de deux cent soixante quinze trials indoor que j'ai montés dans le monde entier.
