On peut faire beaucoup de choses avec un deux roues. Et lorsque la nécessité fait loi, ce mode de locomotion peut révéler des capacités modulaires insoupçonnées. La preuve avec ces tranches de vie relayées ICI et saisies sous des latitudes bien moins favorables que les notre.
André Lecondé
Lui écrireTriumph l'a annoncé officiellement et MCN a attrapé l'info dans ses filets. La baby Triple, qui portera le nom de Street Triple, déclinaison en 675 cc du méchant roadster anglais, fera sa première apparition en public lors de la manifestation annuelle traditionnelle de la marque, les « Tridays ».
Pour celles et ceux qui n'ont pas eu l'occasion de voir la première épreuve de la saison, voici en images dénichées ICI les moments forts du Grand Prix du Qatar sur le circuit de Losail. Un tracé où l'on pourra apprécier l'apport de la V. Max de la Ducati à son pilote.
Les spéculations allaient si bon train que s'en était devenu un secret de Polichinelle. Erik Buell lui-même a donc décidé de reprendre la main sur le sujet en confirmant, cette fois de manière on ne peut plus officielle, la prochaine entrée du blason dans le milieu de la boue, de la poussière et de la terre.
Sans promoteur particulier, l'Endurance n'est cependant pas pour autant sans investisseur majeur. La manne a été trouvée par Claude Danis, président de la commission de courses sur route de la FIM, et prend la forme du Qatar Motor and Motorcycling Federation.
Dur, dur la vie d'Ilmor, qui ne doit finalement son existence que pour la nécessité de faire le nombre dans un plateau famélique. Car côté piste, on frise le ridicule. 1'59 606 est le temps signé par la meilleure machine anglo-suisse lors de la qualification, celle de McWilliams.
16ème aux essais, 15ème à l'arrivée, Sylvain Guintoli s'est rassuré pour ses débuts dans le grand bain du Moto GP. Et pourtant, rien ne lui a été épargné depuis qu'on lui a donné l'occasion de s'exprimer sur une M. 1.
L'ambiance chez Kawasaki oscillait au soir de la manche qatarie du championnat Moto GP entre joie et frustration. Car le blason d'Akashi sait d'où il revient depuis une fin d'année dernière désastreuse, et a le sentiment légitime de tenir une bonne moto, capable de créer occasionnellement la surprise.
Une bonne prestation de la part des troupes Suzuki qui n'a pas sombré, comme lors des tests hivernaux australiens, sur le tracé qatari. Le niveau de performance de la GSV-R est satisfaisant, il ne reste plus qu'à améliorer encore l'exercice des essais pour Vermeulen, ce qui lui permettra de ne pas fusiller ses gommes à force de remonter en course.
Les deux machines en première ligne, et, au bilan, une deuxième et une sixième place, le sentiment, chez Yamaha, balançait entre la satisfaction de mieux débuter la saison que l'an passé, et comme un goût d'inachevé. Car c'est la victoire qui était visée, avec l'autre machine sur le podium qui plus est.