
L’intention affichée au plus haut sommet de l’État de confier les opérations de contrôles de vitesse des automobilistes à des sociétés privées suscite bien des interrogations. Et d’abord auprès de ceux qui sont en première ligne, sur le terrain, et qui vivent au quotidien des contrôles. Des policiers aux gendarmes en passant par l’Organisation des Transporteurs Routiers Européens, beaucoup ne cachent pas leur scepticisme sur la démarche.