Après des semaines noires dues à la crise sanitaire, et contre toute attente, la pratique du covoiturage semble déjà reprendre du poil de la bête pour les trajets domicile-travail. Avec toutefois la nécessité de composer avec des contraintes nouvelles.
Pierre-Olivier Marie
Lui écrireLes groupes PSA et FCA annoncent renoncer au versement de dividendes à leurs actionnaires, mais se veulent rassurants sur la poursuite de leur processus de fusion.
Selon une étude Ipsos pour Vinci Autoroutes, 96 % des usagers de la route ont déjà eu peurdu comportement inconscient des autres. Avec un déconfinement qui va faire la part belle aux moyens de transport individuels, la prudence doit donc être de mise.
Selon une étude exclusive menée par Harris Interactive pour Caradisiac, les transports en commun font l’objet d’une défiance grandissante en raison des difficultés d’y faire respecter des règles sanitaires. Cela bénéficiera en premier lieu à l’automobile, qui va augmenter le nombre de ses usagers. Mieux, elle intéresse même des gens qui n’en sont aujourd’hui pas équipés.
A partir de lundi, tous (ou presque) à vélo! La petite reine présente bien des avantages, mais attention: en cas d'infraction au code de la route, vous vous exposez à de sévères sanctions. Piqûre de rappel.
L’instauration de la gratuité du stationnement était l’un des rares effets positifs de la crise sanitaire. Mais ce régime d’exception va progressivement disparaître avec la fin du confinement. Voici où.
Le prix du litre est aujourd'hui au plus bas, mais voici que le cours du baril commence à remonter, à la faveur du déconfinement progressif et d'économies qui redémarrent.
La production reprend dès cette semaine dans certaines usines du groupe PSA. En France, les sites d'Hordain et de Trémery seront les premiers à redémarrer.
Allez, dernière semaine de confinement obligatoire! Pour fêter ça, offrons-nous quelques minutes de tête à tête avec le grand Ari.
Un ex-grand patron de l’auto en cavale, des usines à l’arrêt pendant des semaines, un baril de pétrole à prix négatif, l’Ile-de-France sans bouchons… : nous ne sommes qu’en mai, mais on peut déjà affirmer que 2020 restera comme l’année la plus folle de l’histoire de l’automobile. Voici pourquoi.