VOS AVIS SUR alfa romeo

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Véhicule : Alfa Roméo 159 sw ti Moteur : 1,9 JTDM, 150ch d'origine, reprogrammation à 180ch Année : 2008 - J'ai acheté une Alfa Roméo 159 sw ti il y a peu, et j'en suis ravi. Niveau confort pour une voiture de 2008, excellent, comparé a une Skoda kamiq de 2019 l'Alfa Roméo est vachement plus souple sur les suspensions. Le confort des sièges baquets en cuir est vraiment appréciable durant les longs trajets. - Coté tenue de route, rien a dire, le berceau est comparable à un berceau de camion ce qui vous permettra de prendre les col de montagnes plus vite que tout autre voiture dans ce tarif. - Au niveau de la résistance de l'intérieur que ce soit le cuir, les plastiques ou même les coutures, tout tient très bien sauf peut être les sièges en cuir qui se dégradent un peu, mais cela est largement pardonnable pour une voiture de cet âge la. - La consommation est raisonnable pour un diesel, autour des 6L/100km au régulateur à 140km/h, par contre faire attention si vous voulez accélérer, vous faire plaisir a conduire un peu sportivement la consommation passera facilement a 9L/100km ou 10L/100km. - Coté entretien étant mécanicien cela me facilite la tache mais le moteur 1,9 JTDM est l'un des moteur italien les plus fiable, donc pas d'inquiétude a ce niveau là, Il faut juste faire attention a bien faire la courroie de distribution en temps et en heure. - Niveau sécurité je n'ai pas eu l'occasion de tester les airbag et heureusement, mais il y en a beaucoup dans la voiture donc c'est rassurant. Faire juste attention au freinage car les 1,5 tonnes se sentent, ça freine, mais les premières fois ça peut surprendre. En résumé c'est une très bonne voiture pour tous les jours, avec assez de puissance pour dépasser dignement ou alors vous amuser un peu, mais ATTENTION ce n'est pas une sportive, loin de là donc ne la conduisez pas en pensant que la voiture va répondre a toutes vos attentes, en voyant ce design elle fait en effet penser à une voiture sportive, mais ce n'est pas le cas.

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C'est ma deuxième alfa 166 après avoir eu une ph.1 que j'ai malheureusement accidenté. On s'y attache à elles deux j'ai totalisé + de 200 000 km sur une période continue de 16 ans. Voiture familiale qui embarque sans soucis 3 enfants disposant d'un coffre très volumineux. Côté voiture il faut contrairement à bcp de voiture lambda connaitre la "Miss" et s'y intéresser de près ... la 166 se mérite et s'apprécie à l'aune de ses qualités et défauts... c'est une voiture d'un certain âge avec son lecteur de K7 en façade et pourtant côté ligne toujours aussi belle et racée. Des déconvenues j'en ai eu mais bien souvent en raison d'entretiens négligés par les précédents propriétaires souvent peu scrupuleux car la "Miss" est couteuse en entretien dans le réseau Alfa et le SAV Alfa pas toujours à la hauteur de la "Bella Ragazza". Aussi comme dit l'adage "on est jamais mieux servit que par soi-même" je m'en occupe autant que possible, à la hauteur de mes compétences et des nbreux tutos disponibles sur le net, et elle s'en porte très bien. Sur Nationale, autoroute impériale, elle n'apprécie guère la ville et ses lots d'outrageux ralentisseurs / nids de poule qui détériorent les trains/amortos/silentblocks et les cardans. J'ai toujours autant plaisir à rouler avec et espère l'emmener encore pour de belles virées (je totalise aujourd'hui 243 000 km avec ma Ph.2)

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Bonsoir c'était ma première Alfa de la série que j'ai possédé effectué 120.000 Kms sans problème majeur ;auto très agréable a conduire avec un moteur toujours dispo.Juste des problèmes récurrent de toles rouillées ( bas de caisse et soubassements ) d'ou ennuis au controle technique ( je vis en Belgique ) .sinon trèe bonne voitutre.

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Je suis propriétaire depuis début 2016 d'une Alfa Rome 33 1.5 Ti (105cv) de 1988, avec 78000km au compteur. C'était le modele sportif juste en dessous de la 33 QV 1.7. Ses "plus": - Sa ligne très typée 80's la rend très originale, à défaut d'être sculpturale, dans la circulation actuelle. - L'équipement, sur la Ti, est plutôt soigné: verrouillage centralisé, toit ouvrant, autoradio, vitres électriques, et Alfa Romeo Control (une sorte d'ordinateur de bord). Mais la finition reste moyenne. - Son moteur: s'il y'a bien une raison d'acheter une Alfa, c'est pour sa mecanique, et le Boxer ne déroge pas à la règle. Rageur, il aime monter dans les tours, en vous gratifiant d'un bruit rauque bien sympathique, mêlé aux pétarades de l'échappement. Les deux doubles carburateurs fournissent toujours ce petit "coup de pied au cul" passé les 4000tr/min. Mais le Boxer n'est pas non plus un engin pointu, son couple relatif permet de "cruiser" tranquillement. Et contrairement à beaucoup de rumeurs, c'est un engin très solide, si, comme toutes mécaniques italiennes, l'entretient est fait dans les temps. ses "moins": - Si vous recherchez une berline compacte, maniable et pratique en ville, oubliez de suite: la direction est camionesque, le rayon de braquage n'est pas terrible et le levier de vitesse, problème des Alfa de l'époque, revient à manier une cuillère dans un pot de mayonnaise. Elle demande une "douce fermeté" dans son maniement, afin d'éviter de craquer la boite de vitesse, surtout en seconde. La visibilité arrière n'est pas non plus géniale. - quelques petits pépins électriques, sans gravité heureusement, sont à noter: lève-vitre prenant un jour de RTT pour remonter, essuie glace anémique, verrouillage centralisé en option sur certaines portes, bref des détails qui peuvent agacer au quotidien mais qui ne sont pas handicapants. A ce jour, je n'ai qu'une pompe à essence qui m'a lâché suite a une durite poreuse, donc pour une voiture ayant 28 ans, je ne peux pas trop lui en vouloir. L'Alfa 33 est le parfait moyen de mettre un pied dans monde du Biscione milanais à petit prix. Bourrée de petits défauts mais pleine de caractère, elle peut rebuter comme fasciner les personnes qui aiment les voitures "vivantes". Mais son plus gros atout reste son moteur, une vrai usine à sensation, qui à lui seul peut constituer un motif d'achat.

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Une véritable machine à sensations. Incomparable , sauf peut etre à une Lotus . Léger, rapide, en direct avec la route , du pilotage plaisir et une des plus belles voitures selon moi de ces 20 dernières années avec cette coque en carbone que l'on ne retrouve que sur quelques super-cars.En bonus un cout de maintenance très raisonnable car la voiture est légère , n'a pas besoin d'un "gros moteur" et les périphériques ( freins , pneus) sont surdimensionnés.

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Alfa 75 2.0 twin spark achetée neuve Février 1988, gardée 10 ans. Attiré par les deux bougies par cylindre, et pas déçu du tout. On a le double arbre légendaire de chez Alfa, que le double allumage rend extrêmement sûr : l'usure est quasiment nulle ! Oui, usure nulle : la combustion totale dans le cylindre évite l'usure du moteur, et le double arbre entraîné par chaîne est parfait ; usure très faible aussi des pneus AR. Le comportement routier est excellent, la boîte sur le pont AR assure une tenue de route et une agilité superbes, les 5 vitesses sont bien étagées. Le double allumage très bien conçu permet des rétrogradages et des coups de frein moteur éblouissants même à très haut régime, qui n'abîment pas du tout le bloc moteur. Le double allumage donne une grande souplesse : 50 km/h en 5ème sans vibration, aussi bien que 6500 tours/mn en 3ème ou 4ème pour se lancer. La mienne avait le toit ouvrant électrique d'origine, les commandes étaient au plafond avec celles des vitres, je ne comprends pas les gens qui critiquent cette disposition, moi j'aimais bien, et le frein à main aussi. Le freinage (pas d'ABS en série à l'époque) était très bon, comme sur toutes les Alfa depuis les années 1960. Les bulles sur les vitres AV sont super : on peut entr'ouvrir pour avoir de l'air sans que ça gêne, même et surtout quand il pleut pour éviter la buée. Un bémol est dû au fait que la 2.0 TS occupait une place intermédiaire dans la gamme 75 : il y avait l'équipement ordinaire (1.6, 1.8, 2 litres carbu) et l'équipement top (versions "america" 1.8 turbo et 3 litres). La 2.0 TS avait les sièges de forme "ordinaire" mais revêtus du tissu "top", le capot bombé et les jupes latérales "top" mais les boucliers "ordinaire", le volant et le pommeau en plastique "ordinaire" mais le différentiel autoblocant "top", etc. Les vrais défauts sont l'extrême fragilité du collecteur d'échappement, et l'encore plus grande vulnérabilité du pot d'échappement central. C'était l'automobile d'une autre époque, mais j'en garde un très beau souvenir.

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Alfa gtv6 rouge de janvier 1987 3 eme main 140 000 km achetée en janvier 2017 Ligne magnifique ... et son dû moteur terriblement efficace Moteur rageur , tenue de route de propulsion

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Heureux propriétaire d'une Brera exclusive couleur 8C Sky View, j'en suis plus qu'heureux, malgré quelques déboires dernièrement ... Les plus : Un design int/ ext hors-norme Qualité des finitions / ergonomie Un moteur diesel coupleux et agréable Une direction directe et précise Une superbe tenue de route Les moins : Consomme 10L en ville 2 fausses place à l'arrière : ou alors faire partie de la famille de mimi Mathy Vite couteux lors des opérations mécanique Difficulté de trouver certaines pièces ( et couteuses)

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J'ai ce duetto depuis 6 ans (en fait, il faut dire spider "coda longa" car c'est un 1750, le terme "duetto" ne s'appliquant qu'à la version 1600cc), très semblable à celui de Dustin Hoffman dans le film "Le Lauréat", mis en circulation en septembre 1969 à San Francisco puis ayant passé plus de 20 ans à Salt Lake City avant de revenir en Europe via la Hollande. Il a été entièrement remis à neuf par un spécialiste des Alfa anciennes avant que je l'achète (remise du moteur aux cotes d'origine, donc rodage, démontage et révision de la boîte, traitement anti-rouille, lustrage, vérification de l'électricité etc). Après 6 mois de de remise en route faisant suite à plusieurs années d'inactivité, (notamment changement de l'allumage et de l'alternateur et remise en état de la ligne d'échappement...) il est depuis d'une fiabilité totale, j'ai fait 25.000 kms avec sans aucun pépin, il ne consomme ni huile ni eau et est capable de tenir sans problème des vitesses que les ayathollas des limitations n'osent pas imaginer, même ce n'est pas sa destination naturelle. Il ne demande qu'une vidange tous les 5000 kms ce qui pour moi correspond à son kilométrage annuel, sachant que les pièces de rechange sont peu coûteuses (sauf les pièces d'accastillage et de carrosserie, donc éviter de se garer près des Grands Boulevards), largement disponibles et que l'entretien n'atteint pas la moitié du coût d'une voiture moderne de même cylindrée. Et le plaisir qu'il procure dès que l'on baisse sa capote est vraiment unique! Le 1750 est très souple, vif et très musical, la voiture freine bien (4 disques assistés, même s'il faut parfois avoir un mollet un peu musclé), la boîte 5 est un régal de précision et de douceur, la suspension est confortable, le coffre n'est pas ridicule pour une escapade en amoureux et le spider est capable de faire de longues étapes à vitesse soutenue, il n'est jamais piégeux même s'il n'aime pas le mouillé où l'on apprend très vite ce que survirage veut dire. Mais son terrain de prédilection, ce sont les petites routes, lorsque l'on décapote et où les bruits de la nature se mélangent aux vocalises du bialbero, on approche le nirvana... Ceci étant, que veut dire un questionnaire d'aujourd'hui pour une voiture de 1969, dont le mérite est aussi de pouvoir rouler sans contrainte dans le trafic actuel? Pour moi, le spider a une note de 19,5/20 (je laisse le 20 pour les Ferrari de la même époque, mais on est dans un autre monde!)

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Voiture très agréable au quotidien. Économique, fiable et très confortable. Très bien équipée en version TI.