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Actuellement en voyage officiel aux États-Unis, Emmanuel Macron a emporté avec lui le dossier du protectionnisme automobile, qui réserve les aides publiques américaines aux achats de VE made in US. Une pratique que le président français a jugée « super agressive » et qu’il aimerait voir abandonnée. Quelles sont les conséquences de cet IRA (Inflation reduction act) sur l’industrie auto ? Elles sont quasi nulles pour la France, mais importantes pour l’Europe en général et l’Allemagne en particulier

Même si son prix a légèrement augmenté depuis 2018, l’Alpine A110 affiche toujours un très beau rapport prix-prestations dans sa version d’entrée de gamme. Elle devient même moins chère que la plupart des sportives compactes, assommées par l’inflation et le malus écologique. De quoi en faire une sportive presque abordable ?

Depuis ce matin, vous pouvez commander la version radicale de la jolie voiture de sport française. L’A110 R coûte 105 000€ ou 148 000€ dans la version Fernando Alonso (qui ne fait d’ailleurs même plus partie d’Alpine F1).

Le SUV électrique d’Alpine pourrait s’appeler « GT X-Over » et développer un peu moins de 500 chevaux. Mais il pèsera lourd…

Lors de son "capital market day" de mardi dernier, Luca De Meo a sorti de sa poche son atout premium : la petite marque Alpine, à qui il prédit des lendemains qui chantent, et un futur béni de marges sonnantes et trébuchantes. Un atout maître ou un coup de bluff ?

La Renaulution, la vraie, aura lieu demain 8 novembre. Au soir de ce « capital market day », on saura si Luca de Meo a réussi son pari : sauver la maison Renault, pas moins, en la divisant par deux. Le prix à payer pour que le losange survive dans la grande bourrasque qui risque de faire sombrer nombre de navires de l’automobile. Le prix à payer aussi pour vivre sans l’Alliance Renault Nissan qui, à l’issue de ces prochaines journées lourdes de conséquences ne pourrait plus être qu’un simple échange d’actions minimalistes comme il y en a tant.

Le patron d'Alpine s'est prêté au jeu de l'interview sur le stand Caradisiac au Mondial de l'automobile. Et il avait beaucoup de choses intéressantes à nous raconter concernant les orientations futures de la marque.

Les salons servent-ils toujours à vendre ? Le groupe Renault se dit très satisfait du mondial de l'auto. Il explique avoir vendu 500 modèles de la marque Renault et 300 Dacia sur ses stands du salon. Pas moins de 200 pré-réservations de l'Alpine A110 R auraient également été enregistrées.

Depuis une semaine, les journalistes de Caradisiac se sont enthousiasmés pour les nouveautés du Mondial. Pourtant, toutes n'ont pas trouvé grâce à leurs yeux. D'une Américaine à la qualité et au design décevant, à d'autres autos trop chères ou qui n'ont pas été dévoilées sur le stand de leur marque, retour sur les modèles qui ont rendu chagrins nos explorateurs de stands.

Y a-t-il encore des voitures de rêve au Mondial de l'automobile de Paris ? On en a trouvé mais pas forcément chez les marques habituelles. Et il faudra aussi s'accorder sur le terme « voiture de rêve ».