C'était l'effervescence hier aux États-Unis, où les derniers électeurs se rendaient aux urnes pour élire leur nouveau président. L'occasion d'évoquer que chez nous, sur le marché de la seconde main, on retrouve de nombreuses voitures américaines. Quelles sont les plus présentes et y a-t-il des difficultés spécifiques à leur achat ? Caradisiac vous dit tout.
Revue de fond en comble, la Corvette de 5e génération devient une excellente voiture de sport, sans pour autant renoncer à son bon gros V8 culbuté ni à sa polyvalence. Performante, elle se déniche encore à prix très attractif !
Elles sont vendues neuves entre moins de 10 000 € pour les moins chères et jusqu'à 20 000 € pour les plus huppées. Ce sont les minicitadines. Mais pour diminuer par 2, voire par quatre ces montants, il faut se tourner vers le marché de l'occasion, où les offres autour de 5 000 € pullulent. Mais dans cette jungle de l'offre, quels sont les modèles à privilégier ? Caradisiac fait le tri.
Les premiers clients de la Corvette C8 en version découvrable recevront très prochainement leur exemplaire de la sportive américaine. L'industrialisation du modèle s'organisait difficilement pour une cause bien connue : la pandémie du coronavirus.
La plupart des propriétaires de Corvette sont ravis de leur acquisition. L'homme ayant signé pour cet exemplaire semble néanmoins naviguer entre deux eaux en collant des badges Ferrari à sa sportive américaine parée de rouge. À moins ce que ce soit autre chose ?
Le salon américain devait se dérouler cette semaine. Covid oblige, la manifestation est annulée. Alors le confiné se souvient des anciennes éditions, celles de la gloire de Detroit, et celles de son déclin.
Alors que l’Europe vogue tranquillement sur les Trente Glorieuses, l’Amérique subit un revers douloureux occasionné par la crise de Suez. À la fin des années 1950, l’Amérique est contrainte de revoir ses prétentions à la baisse. Et ça, elle n’aime pas.
Chevrolet confirme la commercialisation de la nouvelle Corvette C8 en coupé et cabriolet en Europe. Les premières livraisons auront lieu au second semestre 2021, et le tarif anglais donne déjà des indications : à partir de 81 700 livres, soit 91 000 €.
Imprimés sur du papier ou en version numérique, ils sont les instruments qui permettent au testeur de voiture de rentrer à bon port. Mais, parfois, ils l’entraînent vers des territoires incertains, parce qu’ils se trompent, ou parce qu’ils sont mal interprétés.
Quels enseignements la société tirera-t-elle de la crise sanitaire ? Reprendra-t-elle le fil de l’histoire comme avant ou profitera-t-elle de cette alerte pour repartir sur de nouvelles bases ? Les hommes seront-ils plus réactifs après cette alerte qu’ils ne le sont face à la catastrophe écologique toujours latente, autrement plus sourde, plus lourde de conséquences, plus irréversible. Personne ne peut présumer de l’inépuisable aptitude de l’humanité à se reconstruire comme à s’autodétruire. On peut en revanche observer ce qui s’est passé les « jours d’après » les précédentes fractures de l’industrie automobile. Pour démarrer en fanfare, nous revenons sur la crise de 1929.
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