
Lorsque Greenpeace s'intéresse à l'automobile, c'est rarement pour la soutenir. Il fallait une histoire de gaz réfrigérant un peu ambigüe pour que l'organisation non gouvernementale exprime publiquement son soutien à une marque, en l'occurrence Mercedes qui refuse d'utiliser le gaz homologué par l'Europe, jugeant que celui-ci est dangereux.