Nous avons déjà découvert la nouvelle GP2, la monoplace qui sera alignée l’an prochain dans l’anti-chambre de la F1.
Restons si vous le voulez bien dans l’univers du sport auto.
Vous ne suivez peut-être pas tous les jours l’actualité du sport auto. Possesseur d’une Renault Clio ou d’une Citroën DS3 vous ignorez peut-être que ces deux voitures, parmi les plus populaires du marché, peuvent toutes les deux se muer en bêtes de rallye, particulièrement prisées des pilotes. Notamment de ceux qui débutent une carrière.
Petit à petit, on se rapproche du terme de la saison 2010 du championnat du monde de Formule 1 et en attendant de savoir enfin qui sera couronné pour succéder à Jenson Button, il est déjà temps de penser à la saison prochaine. Du coté de Renault F1, on vient d'apprendre la volonté affichée par le constructeur de redevenir actionnaire majoritaire au sein de l'équipe.
Voilà qui pourrait paraître étonnant à première vue, Ferrari soutenant une écurie courant dans un championnat monotype organisé par Renault Sport. Pourtant, en y regardant de plus près, la rumeur paraît fondée.
Avec Romain Grosjean et Charles Pic, autres acteurs du GP2, Jules Bianchi fait partie des espoirs français pouvant rapidement accéder à la Formule 1.
Il était assurément le grand perdant du retrait de BMW à la fin de la dernière saison. Lorsque Robert Kubica parvenait à trouver refuge chez Renault F1, lui était obligé de ronger son frein chez Mercedes en occupant le poste de troisième pilote de l'équipe allemande. Bien évidemment, Nick Heidfeld semble toujours très motivé pour revenir sur la grille l'année prochaine. Avec Renault ?
Après le GP de Silverstone, j’avais envie de chicaner avec vous à propos de Formule 1. Il est vingt-deux heures, voici Minuit chicanes.
Fernando Alonso doit actuellement se battre avec sa monoplace Ferrari légèrement en retrait par rapport aux Red Bull et aux McLaren, mais il évoluait encore chez Renault l'année dernière avant d'être remplacé par Robert Kubica. Et pour le directeur sportif de l'équipe française, son retour en jaune après l'épisode McLaren fut tout simplement une erreur.
Le vendredi 11 juin, dans le cadre du déplacement de Caradisiac au Mans pour couvrir les 24 Heures, j’ai enfin pu honorer ma promesse de visiter l’écurie DAMS. Aujourd’hui engagée en GP2, AutoGP, FLM et Formula BMW, elle est une des écuries françaises les plus réputées dans le monde du circuit. Claire Magnant, team coordinator, nous a accueilli sur le coup de 16 heures, à Ruaudin, à quelques encablures seulement du circuit de la Sarthe.
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