SUZUKI SWIFT IV 1.0 BOOSTERJET 111 PACK AUTO - 2017
Par
le 4 sept. 2024 à 17h48
Véhicule possédé depuis : 2 à 4 ans
Kilomètres par an : 20000 kms
Cadre d'utilisation : Quotidien
Type de parcours : Extraurbain, Autoroute
Consommation moyenne : 7.5 l/100 km
Entretien : Concession
Avis général
Voitures possédées précédemment, pour comparaisons : Peugeot 205 GTI 1.6 115ch Smart Roadster 82ch boite auto Dacia Sandero 1 1.2 75ch Ergonomie : Beaucoup de choses sont étrangement disposées, comme si aucun humain chez Suzuki n'essayait le véhicule. À tel point que ma blague habituelle sur cette voiture était : "t'as vu, ils ont mis le volant devant le siège conducteur, c'est pas logique." Mes précédentes voitures sont soit low cost sans option, soit très anciennes. Je ne peux donc pas comparer l'habitacle. C'est logiquement le meilleur de toutes mes voitures. Les sièges ont un soutien trop prononcé en bas du dos. C'est peu être très bien pour ma colonne vertébrale, mais je ressens une légère gène après 5 heures de conduite. L'assise en bois, elle, me provoquait des douleurs sur les longs trajets. Je regrette le moelleux de ceux de la Sandero. Le confort global est bon mais très ferme. Trop ferme pour moi, habitué à la très grand souplesse de la Sandero ( les dos d'ânes, elle s'en fichait ). Les pneus taille basse en 185/55/16 n'aident pas. Les pneus Ecopia 16 pouces sont très bruyants dès 30 km/h ( oui, 30 km/h ). Sur autoroute, on n'entend presque qu'eux. Bruits aérodynamiques : ils prennent le dessus de manière surprenante sur autoroute si on a le vent de face. Le moteur de 111 ch est un véritable régal avec une auto si légère, coupleux à bas régime. Il se fait très discret en toutes circonstances sauf lors des relances, bien aidé par la boite 6. Un véritable bonheur par rapport à mon ex Sandero 1 1.2 75ch qui hurlait sur autoroute. Les vitres ne sont pas assez serrées par les joints et elles vibrent sur mauvais revêtement. Pas besoin de bosse, un asphalte rugueux suffit. C'est très décevant, je n'ai jamais eu ça sur aucune de mes voitures, même très âgées. La boite automatique 6 rapports à convertisseur de couple est un modèle de réactivité, surtout comparée à la très lente boite robotisée de mon ex Smart Roadster ! Elle écrase également celle de la Smart Roadster sur le critère de la douceur ; c'est précisément pour cette douceur que je voulais une boite automatique à convertisseur de couple. Le régulateur de vitesse adaptatif est brutal en accélération et en freinage. Contrairement à d'autres modèle ( ex : Prius 4 ), il n'anticipe pas : derrière un autre véhicule, il va accélérer fort jusqu'à atteindre la distance de consigne, puis freiner brutalement car il s'en rapproche trop rapidement.
Problèmes rencontrés
20.000 km Les 2 moteurs de repli des rétros à changer, pas remplacé car le diagnostique Suzuki ne correspond pas aux symptômes ( uniquement pour les déployer, pas les rentrer ). 25.000 km le récepteur de pression de pneus arrête parfois de fonctionner. Non réparé car revente du véhicule. 58.000 km Le radar à l'avant commence à se déconnecter/reconnecter. Cela désactive les aides à la conduites comme le régulateur de vitesse adaptatif. Non réparé car revente du véhicule. Freins défectueux réglés par un rappel 5 ans ( 5 ans !!! 😠 ) après la mise en circulation. Je mettais l'impossibilité de doser le freinage sur le compte de la boite automatique qui pousse la voiture. Quand vous êtes sur l'autoroute et que le régulateur se cale sur la vitesse du pont sous lequel vous passez, ça fait drôle. Beaucoup de freinages fantômes et d'alarmes fantaisistes.
A aimé
N'a pas aimé
Détail de la note
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