Rappelez-vous, c'était le 2 mars dernier. Nous nous faisions l'écho d'une addiction au macaron de la maire de Lille, Martine Aubry. Une cocarde apposée sur le pare-brise de son véhicule de fonction à l'effigie d'une Assemblée nationale qu'elle ne fréquente plus. Ce qui rendait son usage illégal. Le relais de l'information a fait, depuis, des vagues...
Il en est à présent ainsi dans les médias. Le sport, dans sa généralité, n'est plus rentable pour des chaînes d'accès gratuit pour le téléspectateur. Autrefois incontournable car vecteur d'image pour la chaîne, il a perdu sa virginité et sa candeur pour s'installer sur les supports payants. En 2013, il faudra se payer un abonnement à Canal + pour voir la Formule 1. C'est la « premiumisation » mon bon Monsieur. Explication :
Plaques d'immatriculation : les doublettes font recette et les professionnels ne valent pas tripette
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Selon une enquête du magazine Auto Plus, rien n'est plus simple que d'obtenir une plaque d'immatriculation. Sur huit sites sur la toile mis à l'épreuve, six ont honoré une commande sans jamais demander le moindre justificatif. Et les professionnels qui ont pignon sur rue ne sont pas plus au-dessus de tout soupçon. Le média lui, n'a pas mis à côté de la plaque. Démonstration :
Dans notre République, il est des symboles qui ont été mis en place dans l'esprit de permettre à la représentation nationale de mieux exercer sa charge. Parmi ceux là, la cocarde, un distinguo du commun des mortels qui facilite la circulation et le stationnement. De quoi enivrer les esprits les plus aguerris. Car on a beau être élu, on n'en est pas moins homme... Ou femme dans le cas d'espèce. Démonstration :