Citroën Berlingo : l'anti SUV - Vidéo en direct du Mondial 2018
Cette édition 2018 du Mondial de l'Auto est une excellente occasion pour découvrir ou redécouvrir la troisième génération du Citroën Berlingo, le fer de lance d'une réplique des ludospaces contre le raz-de-marée des SUV.
Le dernier Citroën Berlingo fait partie d'une nouvelle génération de ludospaces ayant pour frères le Peugeot Rifter et l'Opel Combo Life et qui mérite véritablement le détour. Avec un train avant de Peugeot 308 et 3008 garant d'une tenue de route et d'une direction affûtées mais conservant le train arrière de l'ancien, ce qui permet de conserver une capacité de charge importante et un volume considérable, avec 597 litres, il a su suffisamment se civiliser pour faire oublier ses origines de véhicule utilitaire.
Son habitacle fourmille de rangements, pour un total de 186 litres, et se montre d'une grande modularité, avec les trois sièges indépendants au second rang qui peuvent s'escamoter dans le plancher. Et si ça n'est pas suffisamment, vous pouvez rajouter deux sièges supplémentaires pour porter la capacité du Berlingo à sept passagers et une version XL rallongé de 35 cm existe, avec une véritable soute de 850 litres.
Portes arrière coulissantes et sièges escamotables, ce Berlingo se montre très pratique.
Il reprend aussi une gamme de motorisations tout ce qu'il y a de plus moderne avec au choix le 1.2 Puretech de 110 ch ou le 1.5 BlueHDI en 75, 100 et 130 ch, ce dernier pouvant même recevoir une boîte de vitesses automatique à huit rapports EAT8. Un niveau de perfectionnement qui se retrouve aussi dans les équipements, avec pas moins de 19 aides à la conduite et un écran tactile de 8 pouces avec connectivité Android Auto et Apple Car Play.
La face avant du dernier style Citroën se marie plutôt bien avec cet arrière qui se réclamant plus du cubisme.
Les tarifs démarrent à 21 950 € avec le BlueHDI 75 ch en finition Feel et grimpe jusqu'à 30 550 € en châssis XL avec le BlueHDI 130, boîte EAT8 et finition haut de gamme Shine.
L'instant Caradisiac – Ce n'était pas le bon moment
Vous en avez probablement entendu déjà parler mais j'ai choisi de faire mes photos au pire moment, l'après-midi du second jour des journées presse alors que la visite d'Emmanuel Macron était sur le point de démarrer. Le Hall 1 sera bloqué pendant plus de trois heures et l'intégralité des stands PSA et Renault resteront inaccessibles pendant toute cette période. Pas vraiment grave pour moi qui pouvais faire mes photos le lendemain, un peu plus pour les journalistes étrangers qui ne pouvaient pas terminer leurs sujets ni même... accéder aux vestiaires pour s'en aller.
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