Par Anonyme
Dura lex sed lex. Après Singapour 2008 et ses frasques du Stepneygate, Ferrari aura sans doute cru qu'embaucher l'ex pilote Renault, c'était acheter le droit d'ignorer les règlements et de tricher dans l'impunité. D'où l'arrogance de la consigne interdite hurlée à la face du monde. Ce fut vrai sous la gouvernance Mosley où il fallait protéger le petit toro à n'importe quel prix. Les temps ont peut-être changé.