Commentaires - Montezemolo : « Assez de cette hypocrisie »

Le soucis c est que ca veut dire que Massa est un con quoi,le barrichello de l'équipe.

je suis d'accord avec anonyme

Le soucis c est que ca veut dire que Massa est un con quoi,le barrichello de l'équipe.eternel second dans une equipe de pointe...

Con pourquoi ? Pour avoir obéit aux ordres de son employeur qui le paie quelques millions de Dollars par mois ?

Manu.

Chez Renault on leurs demande de se scratcher sur un muret c' est pas mieux! L.O.L.

" Je réaffirme simplement ce que j’ai toujours déclaré, ce dont les pilotes sont tout à fait conscients, et qu’ils doivent respecter, c’est que chez Ferrari, les intérêts de l’écurie passent avant les intérêts individuels."

Ha et donc pourquoi laisser passer Alonso ?? si Massa avait fini 1er et Alonso 2, Ferrari aurait marquer le meme nombre de points, non ?

Quelle hypocrisie !! le probleme c'est que la F1 ce n'est plus du sport, c'est devenu du politique avec les memes tronches de cake qui dirigent ..."

Et si ça voulait dire que Ferrari ne voulait pas terminer comme Red Bull en Turquie ? Faut dire qu'ils étaient chauds tous les 2... Je précise d'emblée que je suis pro-personne

Ah ok, il s'agit donc ici de l'hypocrisie concernant les consignes d'équipe ? Ah bon ! Regardez le bel arbre qui cache la forêt ! Moi qui croyais qu'il était question de voitures aussi rouges que totalement non conformes avec de si jolis ailerons mobiles ! Aussi mobiles que les états d'ame du fils naturel de Feu Gianni Agnelli, Lucass' cou..les, qui fait encore ici l'étalage de ses talents berlusconiens dignes du comportement d'Enzo d'avec Mussolini ! Ah Montezemolomolomolo !! Moi Monsieur, quand je vois ces gens là agir ainsi, utiliser la langue de bois dont on fait les flutes, je me dis que le rouge ça pue à bien des niveaux ! Trahir, mentir , tricher ou voler (et je ne parle pas de Webber à Valencia ), c'est ça la F1 ? Et les cons (ou tout au moins ceux qui sont pris pour des cons ), eh bien c'est nous et pas Massa Ptites Couilles!

Montezemolo tente de sauver les meubles. C'est compréhensible car c'est sa mission et qu'il est lui-même sur un siège éjectable.

Mais dans le feu de l'action dans le stand, a-t-on vraiment voulu défier un règlement qu'on réprouverait car il interdit les consignes ? Une sorte de provocation moralisatrice quitte à encourir des sanctions ? Dificilement concevable, d'autant que les sanctions définitives peuvent aller jusqu'à une annulation de points et une suspension du bénéficaire, Alonso.

Alonso stresse le team. Il parle mal aux membres de l'équipe. Même les commentateurs de TF1 qui l'ont longtemps défendu et soutenu le soulignent aujourd'hui. Alonso hurlait dans sa radio parce que Massa était devant et qu'il était incapable de doubler son équipier à la régulière. Le représentant de Santander, qui a acheté très cher le baquet d'Alonso, faisait pression dans les stands.

Alors, une question se pose. Et si chez Ferrari, l'équipe opérationnelle sur le terrain avait fait exprès d'afficher devant les caméras du monde entier la consigne appuyée et évidente ? Un moyen machiavélique d'obéir au pilote payant (Alonso) et à son sponsor (Santander), tout en rendant à Alonso la monnaie de son incorrection. Car si Montezemollo ne raisonne que politique et argent, l'équipe opérationnelle sur les Grands-Prix aime Massa, le soutient et l'estime. La consigne imposée de manière aussi expàlicite à Felipe pourrait bien être un cadeau intentionnellement empoisonné. Les membres du team obéissent, contraints et forcés, mais ils présentent leur pilote payant comme un tricheur multi-récidiviste, un tout petit bonhomme et une brute mal embouchée. Le petit toro, il s'en repentira. Et ça a commencé dès la salle de presse où on ne l'a pas ménagé, lui rappelant même le scandale de Singapour, encore à son profit.

Alonso avait toujours été soutenu par les médias français. Les budgets publicitaires de Renault n'y furent sans doute pas pour rien. Mais dans le reste du monde, les observateurs sont bien plus critiques. Les opinions de Niki Lauda et Helmut Marko, des connaisseurs parmi les connaisseurs se révèlent fort édifiantes.

En tout état de cause, que les membres de l'équipe Ferrari aient maladroitement obéi à Alonso et à son sponsor ou qu'ils aient décidé de se coucher tout en lui faisant payer au prix fort ses malpolitesses, le scandale rejaillit sur Ferrari. Comme auparavant sur Renault et McLaren. Il ne fait décidément pas bon employer ALonso...

Et dire que Jean Todt n'en voulait pas chez Ferrari, quand il y était encore... Il avait vu juste.

Oui, c'est tres vrai 23h41... Mais Alonso est tellement puissant avec la mafia de Briatore. Il terrorise tout le monde, y compris chez Ferrari. Il fait sa loi, tel un dictateur... Et il ressort systématiquement blanchis... Pauvre Massa, et pauvre Ferrari... Je leur souhaite à tous de TOUT perdre, le championnat pilote et constructeur, et aussi longtemps que Alonso sera chez eux.