Par Anonyme
ha!!! c' est beau l' europe !!!!:cubitus:
Point info de 15h - Plan pour l'Auto, vers une possible interdiction par l'Europe
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Par Anonyme
ha!!! c' est beau l' europe !!!!:cubitus:
Par Anonyme
Ils ont raison ! Sarko est complètement démagogique.
Par Anonyme
"Le Japon a aussi qualifié le protectionnisme de "mal absolu". " C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
Par Anonyme
Non,ils n'ont pas raison "Slash".. La république tchèque par exemple a financé pour moitié la contruction de l'usine PSA dans leur pays et les détaxe pendant 7 années.Alors qu'ils regardent déjà devant leur porte si c'est propre !!!! Mais le plus gros problème,ce sont bien nos banques Françaises qui ont reçu l'argent du gouvernement et qui ne veulent pas prêter cet argent aux entreprises comme aux particuliers. En clair toujours plus de fric pour certains "voir Total" et la ceinture serrée pour les autres.Vive la France des "Bolloré" et compagnie !!!!!!!!!!!!
Par Anonyme
L'europe c'est le top !!! VW c'est genial vivement qu'il n'y ai qu'une seule marque en europe avec un seul modele,la POLO, au moins on sera tranquille
Par Anonyme
"les banques ne donnent plus aux constructeurs français "dixit le patron de peugeot sur rtl !! alors ils sont entrains de quémender envers l'état français un par un . enfin tout le monde quoi!!:D
Par Anonyme
Alain, faux. La république tchèque n'a rien à voir avec le problème de protectionnisme dans ton exemple, car les mesures mises en oeuvre n'ont pas provoqués les deux points suivants: favoriser les activités nationales et pénaliser la concurrence étrangère. Seulement le premier point est mobilisé. Ensuite, tu parles des banques françaises qui ont "reçu l'argent du gouvernement et qui ne veulent pas prêter cet argent aux entreprises comme aux particuliers": faux, ils prêtent toujours beaucoup, mais moins qu'en conjonture économique stable (et c'est parfaitement normal, car les risques de non remboursement sont plus élevés). Ensuite, il faut savoir que cet argent va devoir être remboursé au gouvernement lorque la crise sera finie, et avec un taux d'interêt non négociable et variable en fonction du temps de remboursement. Et oui, ce n'est pas gratuit. C'est exactement pour cela que les banques ne peuvent pas se permettre plus de risque que s'ils n'avaient pas reçu l'argent, car s'ils utilisent cet argent, ils devront pour rembourser, en prendre dans leurs réserves. Tandis que là, ils le gardent bien au chaud pour être sûr d'avoir la capacité de remboursement rapide, et ceci afin de ne pas voir le taux d'intérêt du prêt grimper trop haut. Au final, ça rapportera beaucoup à l'état d'avoir prêté. De plus, comme dit dans la parenthèse un peu plus haut, le problème des banques n'est pas leur manque d'argent, mais leur limitation des risques en prêtant moins en temps de crise. Et ça, c'est corrigible seulement si on "donne" de l'argent aux banques et qu'on leur oblige à l'utiliser pour accepter un maximum de demandes de prêt; ce qui n'est pas applicable. L'argent prêté par le gouvernement est toutefois utile en un point pour la France: il sert à réhausser la confiance des français (qui, en très grande majorité, ne s'y connaissent pas en finance). La confiance a un rôle économique déterminant.
Par Anonyme
C'est elle qui détermine la Demande, donc la production et la consommation, donc l'emploi, etc. Autant dire que c'est tout ce qu'il y a de plus considérable en temps de crise. D'après J.M. Keynes, pour relancer une économie en berne, il faut baisser les taxes et augmenter les dépenses publiques. Baisser les taxes pour un pouvoir d'achat plus élevé à tout le monde (et non pas qu'aux smicards qui bénéficient régulièrement de la hausse de leur salaire pour palier à la hausse des prix), et donc pour relancer la demande, qui relancera la production et la consommation. Et augmenter les dépenses publiques afin de remonter la confiance de la population, afin de les voir moins épargner, pour consommer, et donc pour permettre aux entreprises d'investir (les banques accepteront car la demande sera plus élevée). J.M. Keynes met toutefois en garde sur un point: il faut, s'il s'agit d'une crise mondiale, que tous les pays développés agissent en même temps, pour ne pas créer de déséquilibre au niveau de l'exportation (le G20 s'est rassemblé récemment pour mettre au point cette politique). Ceci dit, bien qu'ayant été discutée, cette politique n'est toujours pas en oeuvre. Bref, les politiques effectives ne sont pas encore bien au point, ou tardent à s'y mettre.
Par Anonyme
Et ce plan de l'automobile est très inadéquate avec la politique monétaire de ce début de crise (j'insiste, de ce début de crise). En effet, celle utilisée actuellement est dite "expansive". Elle vise à, entre autre, baisser les taux d'intérêt, ce qui favorise, du côté des ménages, la consommation, et du côté des entreprises, l'investissement. Elle a donc aussi pour but de relancer l'emploi. Mais elle a, pour effet pervers, d'augmenter l'inflation. Et ceci, de façon considérable. C'est pourquoi le fait de poser des conditions si restrictives que celles de notre Président aux entreprises est contre-productif: on leur interdit de supprimer des enplois. Pourtant, les plus grosse entreprises de chaque pays développés utilisent, comme moyen de financement, le marché financier. Et pour corriger les fluctuations énormes du marché qui destabilisent les entreprises et les contraignent à "attendre" la fin de la crise sans lancer de nouveaux projets, il faut que le profit soit élevé. Car les actionnaires à long-terme -les plus importants dans le financement des entreprises- ne vont voir que les entreprises qui risquent de voir leur profit non seulement augmenter, mais aussi augmenter plus que les années précédentes. Bref, en ne permettant pas d'économiser en supprimant des emplois, les entreprises ne peuvent pas compter sur ce moyen de financement. Réhausser l'emploi n'est pas chose aisée. Il faut beaucoup de temps. Ce n'est pas l'emploi qui va relancer la consommation mais la consommation qui va relancer l'emploi. Cette condition qu'est de ne pas supprimer d'emploi n'est donc pas soutenable. Sarko s'y prend très mal, mais il impose sa vision des chose car il sait que les français, qui n'y connaissent pas grand chose en moyenne de l'économie, vont apprécier cette condition. Il va donc réhausser sa côte de popularité... Rassurez vous, la politique monétaire prendra effet, mais plus tard que si on avait bien agit (ou si on interdisait ce plan orné de conditions insoutenables). On devrait laisser le pouvoir économique à des économiste qui n'ont rien à voir avec la politique ! :p
Par Anonyme
@ slash : le multiplicateur keyneseien est un mécanisme qui fuit en économie ouverte, et une intervention concertée ni changera rien, cela dépend avant tout de la balance commerciale du pays. Quant à la hausse du SMIC, elle ne profite pas qu'à ces faignants de smicards puisqu'elle se répercute par la suite sur l'ensemble de la grille salariale.
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