Par Anonyme
La clef du problème se joue cet après midi au TGI (et non GTI) de Paris pour décider si les accords anciens entre Ferrari, vieux chef des légalistes, révalidés par les clauses confidentielles des accords Concorde 1 et 2, sont encore valables. D'un point de vue juridique anglo-saxon, celui de mad max, c'est non, sous le prétexte que Ferrari serait entré à la FOTA. Du point de vue juridique continental, la question est de savoir si les clauses successives annulent ou non les précédentes et surtout si un moyen de sortie était prévu à l'origine de l'accord particulier. Soit : c'est très clair et à l'avantage de Ferrari, soit : c'est contestable et cela prendra entre 3 et 12 ans, Ferrari demandant alors une suspension des changements réglementaires. La FIA étant à Paris, nous aurons peut être des accords "Discorde 3" mais stables. :lol: