Si vous vous attendiez à un article cochon c’est raté. Non, ici nous allons filer le parfait amour.
Sauf événement voici le deuxième et dernier Minuit chicanes de cette semaine consacré à la vie de Caradisiac et « un peu de son au-delà ».
Tous les « nouveaux concepts » automobiles ne présentent pas les même qualités de design. Prenons deux exemples.
Bien entendu, j’aurais pu choisir d’autres voitures, comme la Volkswagen Golf GTI première du nom, par exemple. Car la question, élargie, est la suivante : une version spécifique d’un modèle populaire – c’est-à-dire très largement diffusé – elle-même largement diffusée peut-elle un jour être considérée un jour comme un véhicule de collection ?
Evidemment, il s’agit d’une plaisanterie. Si jamais tout le monde ne la pas reconnue, cette voiture jaune exotique est une (ancienne) Plymouth Prowler (datant ici de 1994) alors que la dernière évolution de la Fiat Barchetta (cf. galerie) date du début des années 2000.
Mettons à nouveau l’art contemporain à l’honneur ce soir dans Minuit chicanes.
Celui-là cela fait longtemps que j’aurais dû vous le sortir. Mais il n’arrive que maintenant. Voici La petite auto de Guillaume Apollinaire, poème issu des Calligramme publiés en 1918.
Si jamais vous vous rendez à Londres d’ici le 16 octobre prochain – ce qui vous laisse un peu de temps – profitez-en donc pour faire un détour par la Saatchi Gallery, à Chelsea où une exposition collective permet actuellement de découvrir deux œuvres de l’artiste allemand Dirk Skerber.
La première génération de Renault Twingo – pour discuter du fait qu’elle fut ou non un fantasme de masse, rendez-vous ici – rencontra un vif succès et restera dans l’histoire au même titre, pour le constructeur au losange, que par exemple les 4L, dont on fête cette année le cinquantenaire, ou R5.
L’esprit français se caractérise notamment par son ironie. Ce soir je propose à la FIA la création immédiate d’un Grand Prix en Corée du Nord.