En attendant son restylage et qu'elle passe sous la marque DS, la Citroën DS5, dernier véritable haut de gamme français, démarre désormais son offre diesel avec le petit quatre cylindres 1,6 l BlueHDi 120. Est-ce suffisant pour déplacer la figure de proue de la marque aux chevrons ?
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Chez Citroën, c’est la DS5 –à l’amortissement revu- qui étrenne le 2 litres BlueHDi de 180 chevaux. Aussi propre que puissant grâce à un original module SCR qui réduit drastiquement les rejets d’oxydes d’azote, ce moteur risque bien de devenir la référence parmi les 2 litres Diesel. D’autant que couplé à une nouvelle boîte de vitesses automatique à 6 rapports, il permet à la DS5 de descendre à 4,4 l/100 km en cycle mixte (114 g/km de CO2) . Un must à l'usage ?
Après le coup de pub inespéré en devenant la voiture officielle du Président de la République, la DS5 Hybrid4 bénéficie d'un coup de pouce tout aussi providentiel en profitant d'un super bonus de 4 000 € qui la rend financièrement intéressante à l'achat. Et à l'usage ?
Au lancement de la griffe DS, Citroën nous avait promis une gamme de trois véhicules. Nous connaissions déjà la citadine DS3 et la compacte DS4, premiers avatars de cette lignée au sang bleu, très "premiumisante". Et la marque aux chevrons accomplit aujourd'hui sa promesse en lançant la DS5, 3ème modèle, fer de lance de la gamme DS, et par là même, de la marque tout entière. Très décalée sur le plan stylistique, la DS5 est également voulue très premium. L'est-elle, à l'épreuve de la critique ?
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