Hugo Payen veut faire un dernier Dakar avec son partenaire Dorcel et son numéro 69
Le 20 janvier dernier à Santiago, Hugo Payen a terminé le Dakar 2013 à la 49ème position et 1er de la catégorie Malles-moto. Ce qui est assez exceptionnel.
Une catégorie sans assistance, où le pilote doit réviser lui-même sa moto après l'étape, quel que soit l'heure de son arrivée d'où l'obligation de la préserver, chaque heure de travail en plus est ….. une heure de sommeil en moins. Une malle de 200 litres contenant tout le « trésor » du pilote est acheminée chaque soir au bivouac ainsi qu'une paire de roues de rechange.
Secrètement le pilote nantais avait décidé avant le départ qu'il participait à son dernier Dakar. Mais Hugo qui fait partie de la « famille Dakar des pilotes amateurs » n'a pas eu le temps de dire au revoir à tous ses amis du bivouac comme il l'aurait souhaité. De retour en Loire Atlantique et sa fraicheur locale, l'envie de faire le vrai dernier en 2014 dans de meilleures conditions a rapidement germé.
L'idée, partir avec une assistance composée de deux très bons amis (Hugo en avait déjà parlé). Mais pour cela, le budget augmente lourdement, il double en fait. Hugo n'a pas tardé à demander à son partenaire désormais bien connu, la maison Marc Dorcel qui œuvre dans le film X, de le suivre de nouveau pour cette ultime participation, sa 8ème.
La réponse ne s'est pas faite attendre bien longtemps, Dorcel père et fils vont faire un bel effort financier pour accompagner Hugo en Amérique du Sud. Le tout avec de la part de Dorcel une grande communication avant et pendant le Dakar 2014.
Avec son n° 69 et son carénage un brin coquin qui ne manquait pas de succès, Hugo est connu par tous les médias de la planète qui viennent sur l'épreuve Sud-Américaine, il reste au pilote à trouver d'autres partenaires pour boucler le budget qui avoisinera cette fois les 75 000 €.
Ceux qui poseront leur sticker sur la voiture d'assistance du Team Payen-Dorcel sont déjà assurés de ne pas passer inaperçus, un véhicule dont nous avons hâte de voir la peinture, la surface disponible étant forcément bien plus grande que celle d'une moto.
Au détour d'une crête de dune, certains verront des "mirages" dans le désert et s'écrieront peut-être : « Ho, my god ! »
Le site d'Hugo Payen
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