KTM sauvé du désastre par Lewis Hamilton ?
C’est la crise chez KTM. En proie à de graves difficultés financières, la marque autrichienne est aujourd’hui tout simplement menacée de disparition. Une situation qui affecte jusqu’au championnat du Monde MotoGP, où la participation de la marque aux prochaines saisons est désormais incertaine. À moins qu’un sauveur nommé Lewis Hamilton n’investisse pour assurer la continuité de la marque en catégorie reine
Que va-t-il advenir de KTM dans les prochains mois ?
La marque autrichienne, poids lourd de l’industrie moto est actuellement secouée par une grave crise financière, avec des dettes avoisinant trois milliards d’euros.
La situation, qui s’aggrave de jour en jour est notamment suivie de près par les organisateurs du championnat du monde MotoGP, avec lesquels KTM est encore engagé pour les saisons 2025 et 2026.
Toutefois, devant les nombreuses incertitudes qui entourent l’avenir de la marque orange, les rumeurs les plus folles commencent à circuler.
Un sauveur nommé Lewis Hamilton pour le projet MotoGP de KTM ?
Outre l’approche de Ducati envers Pedro Acosta, aujourd’hui lié à KTM, le week-end passé a accouché d’un scénario fou : le rachat des équipes KTM par le champion de Formule 1, Lewis Hamilton.
Le pilote anglais, dont la fortune personnelle est estimée à près de 390 millions d’euros, pourrait en effet être le sauveur inattendu du projet MotoGP de KTM.
Déjà évoqué pour le rachat de l’équipe Gresini Racing, le nom de Lewis Hamilton, véritable passionné de moto, revient ainsi sur le devant de la scène suite aux difficultés de KTM.
Selon les ultimes rumeurs, le rachat pourrait concerner à la fois le team officiel KTM, soutenu par Red Bull, une marque concurrente de Monster Energy, le sponsor historique du pilote britannique, mais aussi l’écurie française Tech3, qui engage également deux motos siglées KTM.
Si cela venait à se concrétiser, cette acquisition aurait sans nul doute un impact important en termes d’image pour le nouveau propriétaire du championnat du monde, le groupe américain Liberty Media, par ailleurs déjà à la tête de la Formule 1.
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