Marché: Cuba ouvre son marché, une aubaine pour les scooters premier prix ?
Récemment, Cuba a fait sa révolution en adoucissant les règles que le pays avait établi à la fin des années cinquante lorsque Fidel Castro et ses amis se sont emparés du pays.
Depuis lors, en effet, le citoyen n'avait d'autre choix pour trouver un véhicule utile à sa vie quotidienne qu'à puiser sur un parc existant depuis la chute du dictateur Batista, soit un ensemble hétéroclite composé d'anciennes berlines américaines agrémentées par de non moins imposantes automobiles du grand frère soviétique qui trouvaient grâce aux yeux des dirigeants. Mais dont la construction remontait, déjà, aux seventies.
Côté moto, la situation était identique. Si bien que Cuba est devenu le véritable musée vivant et à ciel ouvert des productions ancestrales de Harley-Davidson. Une conjoncture qui va changer car cette fois, le marché s'est un peu libéré et les ultimes réalisations de ce monde vont pouvoir fouler le sol cubain.
Ceci dit, le changement dans la circulation, ce ne sera pas pour maintenant. Du moins pour ce qui est de l'automobile, puisque le Cubain n'a pas les moyens de s'offrir un engin moderne. En revanche, c'est peut être une nouvelle aubaine qui vient d'être offerte aux productions asiatiques et autres pays émergents qui ont dans leur gamme des scooters solides et autres motos basiques, plus accessibles aux ménages autochtones. A suivre !
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